Infos Business of Monday, 7 August 2017
Source: 237online.com
Une conséquence du vent de modernisation qui souffle sur l’organisme depuis 2008. C'est une véritable révolution qui vient de s’opérer à la CNPS depuis le 18 juillet 2017, date de la signature de la note de service n° 251/17/DG/CNPS portant simplification de la constitution des dossiers d’ouverture et de maintien de droits des assurés sociaux de la CNPS. Dans le but de permettre aux assurés sociaux de la CNPS, d’accéder facilement aux prestations sociales, le directeur général de cet établissement public a décidé d’opérer une simplification dans la constitution des dossiers. Une preuve qu’en matière d’amélioration de la qualité de service, Noël Alain Olivier Mekulu Mvondo Akame n’a pas changé de cap : «Nos véritables patrons, ce sont ces usagers qui viennent à nous demander un service. Nous devons leur rendre le meilleur service possible, et de la meilleure manière possible». Une nouvelle étape vient d’être franchie dans le sens de l’amélioration qui fera certainement beaucoup de bien aux usagers de la CNPS. «L'esprit, rappelle le DG, est que tout document qui n'apportait pas de valeur ajoutée au contrôle de nos services est sans objet et toute information qui pourrait être aisément vérifiée par nos services est donnée par le requérant "sur l'honneur"».
Ainsi, dans la branche des pensions vieillesse, invalidité et décès (PVID), «les documents tels que les bulletins de paie ne devront être exigés à titre exceptionnel, que pour ceux des clients dont la cessation d’activité est antérieure au 31 décembre 2012, dans la mesure où les télédéclarations de leurs salaires n’étaient pas encore obligatoires à cette date-là». Mais, pour des usagers dont la cessation d’activité s’est faite après le 31 décembre 2012, «aucun bulletin de paie ne devra plus être exigé pour le traitement des dossiers de PVID, pour autant qu’ils auront fait l’objet d’une télédéclaration». S’agissant des indemnités journalières de congé de maternité par exemple, le nombre de pièces exigées est passé de 10 à 4 ; tendance baissière observée également dans la constitution des dossiers de demande ou de maintien d’allocations familiales dont les pièces constitutives du dossier sont passées de 15 à 8. En ce qui concerne les demandes de pension de vieillesse normale, le dossier ne comprendra plus que 4 pièces sur 10 exigées avant. Les demandes d’allocation d’incapacité qui comprenaient 9 pièces, n’en comptent plus que 5 ! Globalement, c’est 84 pièces qui ont été écartées de la constitution des dossiers d'ouverture et de maintien de droits des assurés sociaux à la CNPS, sur 198. On ne l’avait jamais vu depuis 40 ans ! On le voit, cette avancée notable dans la simplification est possible aujourd’hui, grâce à l’efficacité de la télédéclaration des salaires et des personnels, possible depuis 2010, sur le site internet de la CNPS, lui-même inauguré le 18 novembre 2009. Elle est aussi le résultat de la révolution informatique opérée au sein d’une CNPS résolument engagée dans la voie de la modernité. Cette révolution informatique a permis la création de SapelliEnergizer, l’application de gestion technique intégrée utilisée par tous les centres de prévoyance sociale. Les dossiers des prestations sociales sont désormais traités et suivis selon des procédures automatisées ; ce qui réduit les délais, assaini les fichiers employeurs et bénéficiaires, tout en suscitant la satisfaction des clients. Grâce à cette révolution informatique, l’interconnexion des structures sur l’ensemble du territoire par la mise en œuvre de l’intranet comme outil de collaboration est une réalité ; de même que le paiement immédiat des nouveaux droits grâce à la mise sur pied du Bureau total, la consultation en ligne des comptes employeurs et assurés sur www.cnps.cm, le paiement des prestations sociales en un jour, au lieu de dix auparavant, dans tous les centres de prévoyance sociale à travers le territoire. Initiative primée par l’Association internationale de prévoyance sociale (AISS)...
Pour la première fois depuis 40 ans, la CNPS vient de procéder à la simplification de la constitution des dossiers d’ouverture et de maintien de droits en matière de prestations sociales en faveur de ses usagers. Une conséquence du vent de modernisation qui souffle sur l’organisme depuis 2008. C'est une véritable révolution qui vient de s’opérer à la CNPS depuis le 18 juillet 2017, date de la signature de la note de service n° 251/17/DG/CNPS portant simplification de la constitution des dossiers d’ouverture et de maintien de droits des assurés sociaux de la CNPS. Dans le but de permettre aux assurés sociaux de la CNPS, d’accéder facilement aux prestations sociales, le directeur général de cet établissement public a décidé d’opérer une simplification dans la constitution des dossiers. Une preuve qu’en matière d’amélioration de la qualité de service, Noël Alain Olivier Mekulu Mvondo Akame n’a pas changé de cap: «Nos véritables patrons, ce sont ces usagers qui viennent à nous demander un service. Nous devons leur rendre le meilleur service possible, et de la meilleure manière possible». Une nouvelle étape vient d’être franchie dans le sens de l’amélioration qui fera certainement beaucoup de bien aux usagers de la CNPS. «L'esprit, rappelle le DG, est que tout document qui n'apportait pas de valeur ajoutée au contrôle de nos services est sans objet et toute information qui pourrait être aisément vérifiée par nos services est donnée par le requérant "sur l'honneur"».
Ainsi, dans la branche des pensions vieillesse, invalidité et décès (PVID), «les documents tels que les bulletins de paie ne devront être exigés à titre exceptionnel, que pour ceux des clients dont la cessation d’activité est antérieure au 31 décembre 2012, dans la mesure où les télédéclarations de leurs salaires n’étaient pas encore obligatoires à cette date-là». Mais, pour des usagers dont la cessation d’activité s’est faite après le 31 décembre 2012, «aucun bulletin de paie ne devra plus être exigé pour le traitement des dossiers de PVID, pour autant qu’ils auront fait l’objet d’une télédéclaration». S’agissant des indemnités journalières de congé de maternité par exemple, le nombre de pièces exigées est passé de 10 à 4 ; tendance baissière observée également dans la constitution des dossiers de demande ou de maintien d’allocations familiales dont les pièces constitutives du dossier sont passées de 15 à 8. En ce qui concerne les demandes de pension de vieillesse normale, le dossier ne comprendra plus que 4 pièces sur 10 exigées avant. Les demandes d’allocation d’incapacité qui comprenaient 9 pièces, n’en comptent plus que 5 ! Globalement, c’est 84 pièces qui ont été écartées de la constitution des dossiers d'ouverture et de maintien de droits des assurés sociaux à la CNPS, sur 198. On ne l’avait jamais vu depuis 40 ans ! On le voit, cette avancée notable dans la simplification est possible aujourd’hui, grâce à l’efficacité de la télédéclaration des salaires et des personnels, possible depuis 2010, sur le site internet de la CNPS, lui-même inauguré le 18 novembre 2009. Elle est aussi le résultat de la révolution informatique opérée au sein d’une CNPS résolument engagée dans la voie de la modernité.
Cette révolution informatique a permis la création de SapelliEnergizer, l’application de gestion technique intégrée utilisée par tous les centres de prévoyance sociale. Les dossiers des prestations sociales sont désormais traités et suivis selon des procédures automatisées ; ce qui réduit les délais, assaini les fichiers employeurs et bénéficiaires, tout en suscitant la satisfaction des clients. Grâce à cette révolution informatique, l’interconnexion des structures sur l’ensemble du territoire par la mise en œuvre de l’intranet comme outil de collaboration est une réalité ; de même que le paiement immédiat des nouveaux droits grâce à la mise sur pied du Bureau total, la consultation en ligne des comptes employeurs et assurés sur www.cnps.cm, le paiement des prestations sociales en un jour, au lieu de dix auparavant, dans tous les centres de prévoyance sociale à travers le territoire. Initiative primée par l’Association internationale de prévoyance sociale (AISS)...