Le clan néocolonialiste et le trio nationaliste, le combat pour l’âme du Cameroun. Le Cameroun est pris en otage. Pas par des étrangers, mais par un petit groupe de visages bien connus qui ont transformé notre République en leur propriété privée. Ferdinand Ngoh Ngoh, Chantal Biya, Mvondo Ayolo, Oswald Baboke…

Ils forment le clan néocolonialiste. Ils sont tapis dans l’ombre du pouvoir, protégés par le bouclier qu’est devenu Paul Biya, ce président que le système a autrefois servi mais qui aujourd’hui en est devenu le prisonnier. Prisonnier d’un piège qu’il a lui-même tissé, mais dont d’autres tirent désormais les ficelles.

Ce clan n’a qu’une seule stratégie : diviser pour régner, corrompre, intimider, détruire. Ils sèment la peur, alimentent les conflits tribaux, cassent les liens de fraternité entre les Camerounais pour mieux régner sur les cendres de notre unité. Pendant que le peuple souffre, eux se partagent les richesses, construisent des empires privés avec l’argent volé aux hôpitaux, aux écoles, aux routes, aux jeunes.

Ils n’ont aucun amour pour le peuple, seulement un appétit insatiable pour l’argent et le pouvoir. Ils n’hésitent pas à saboter les projets d’intérêt national, à faire disparaître des milliards sans jamais rendre de comptes. Des entreprises jadis nationales ont été bradées aux étrangers, d’autres sont mortes dans l’indifférence totale. Ce n’est pas de l’incompétence, c’est de la cruauté planifiée. Ils pillent pendant que le peuple pleure. Mais face à ce système pourri, un souffle nouveau se lève. Un vent de courage, d’intelligence, et de patriotisme sincère.
Le trio nationaliste : Maurice Kamto, Jean Michel Nintcheu et Anicet Ekane. Trois hommes, trois parcours, une seule mission : sauver le Cameroun. Ils sont le trio de l’espoir, celui qui parle au cœur de la jeunesse, aux oubliés, aux marginalisés. Ils n’ont pas peur. Ils dénoncent, ils proposent, ils résistent. Ils ne se battent pas pour un fauteuil mais pour un pays. Leur moteur, c’est l’amour du peuple, la passion pour la patrie, la soif de justice. Leur combat, c’est le nôtre.

C’est pourquoi le clan tremble. Il sent que la fin approche. Il manipule, invente, divise encore. Mais cette fois, le peuple est éveillé.

Grâce à Kamto, chaque Camerounais est désormais étudiant en droit constitutionnel. Grâce à leurs luttes, le masque est tombé, et le peuple sait. 2025 ne sera pas une simple élection. Ce sera un acte de libération nationale. Ce sera la chute d’un régime et la renaissance d’un pays. Mais cela ne dépendra que d’une chose : vous.

Allez voter. Surveillez vos votes. Protégez vos votes. Le Cameroun est à un tournant décisif. Ne laissez pas l’histoire s’écrire sans vous. Le futur, c’est maintenant. L’espoir, c’est nous. Le changement, c’est ensemble.