Combien  de  fois  tirerez-vous  sur  moi  avant  d’enfouir  enfin  une  de vos  douilles  dans  mon  cartilage  vous  qui,  imbu  de  votre  grade,  ne  savez pas  tirer  à  la  mitraillette  ?  
Je  rappelle  cette  lugubre  vérité  parce  qu’il me souvient que c’est  bien  elle  qui  a  déboulonné  votre  cervelle  et  vous a  rendu  farfelue  chaque  fois  que  vous  devez  évoquer  le  nom  du  cybera ctiviste  Boris  Bertolt.  Votre  constant  acharnement  sur  la  personne  de ce  jeune  intellectuel  brillant  trahit  en  filigrane  le  niveau  de  sclérose  qui a  censuré  depuis  cette  lointaine  sortie  votre  psychologie.  
Pour  parler simplement,  je  dirai  que  vous  êtes  traumatisé  par  votre  propre médiocrité.  Vous  l’êtes  à  tel  point  que  pour  tromper  votre  conscience vous  êtes  obligé  de  décrire  votre  personne  comme  si  vous  décriviez Boris  Bertolt  car  des  mots  tels  que  terroriste,  complexe,  ou insuffisance  mentale  que  vous  avez  collés  à  sa  personne  sied  mieux  à la  vôtre.  C’est  bien  vous  qui  souffrez  d’une  déficience  mentale  cher colonel  par  embuscade.  Vous  êtes  un  gros  pour  rien  qui  en  a  plus  dans le  ventre  que  dans  sa  cabessa.
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 Sinon,  expliquez-nous  pourquoi  au  lieu de  vous  atteler  à  résoudre  cette  crise  qui  vous  brûle  les  fesses,  vous occupez  votre  temps  à  médire  sur  ceux  qui  vous  dépassent  au  moins intellectuellement,  et  à  propager  des  Fake  new  çà  et  là  pour  tenter d’essuyer  la  honte  de vos  récidives  défaites  ? Cher  colonel  par  embuscade  pensez-vous  être  plus  crédible  aux yeux  des  camerounais  que  le  cyber  activiste  Boris  Bertolt  ?  Vous  qui tout  récemment  avez  placé  l’un  de  vos  crimes  les  plus  crapuleux  sur  le compte  d’un  pays  de  l’Afrique  de  l’Ouest ?
   
Votre  tendance pathologique  à  débiter  des  mensonges    vous  a  relégué  bien  loin  au fond  dans  l’estime  des  camerounais.  Pour  nos  citoyens  vous  n’êtes qu’un  nullard  bon  à  rien.    Fausse  accusation ?  Expliquez-nous  donc pourquoi  vous  n’avez  pas  encore  communiqué  sur  les  évènements d’hier  à  Ndop  ?  Expliquez-nous  pourquoi  vous  mentez  tout  le  temps aux  camerounais  sur  la  situation  dans  le  NOSO  que  vous  envenimez avec  vos  sorties  bidon  ?  Que  faites-vous  pour  aider  les  camerounais  à retrouver  la  paix  et  la  stabilité  ?  
Vous  détournez  les  primes  des  soldats, des  pauvres  soldats  que  vous  envoyez  au  front  ;  vous  vous  en  servez pour  manger  de  la  viande  de  porc  pendant  que  sur  le  terrain  ce  sont les  balles  de  l’adversaire  qui  mangent  leur  chair.  Et  le  lendemain, honteux  que  vous  êtes,  vous  choisissez  de  cacher  votre  forfaiture  aux camerounais  jusqu’à  ce  que  des  personnes  comme  Boris  Bertolt décident  de  communiquer  à  votre  place  pour  voiler  votre  médiocrité. C’est  alors  que  vous  vous  souvenez  que  votre  rôle  est  de communiquer  ; mais  communiquer, vous  le  faites  si  mal,  tel  un  illettré aux  faux  diplômes  que la filiation au pays organisateur  a parachuté  au poste  de  communicateur  de  tout  un  ministère  de  la  défense.
  Avez-vous  des  vrais  diplômes, monsieur  le  colonel  par  embuscade?  Je vous le  demande  car  toutes  vos  sorties  profilent  littéralement  le  même degré  d’incompétence  et  de  bêtise.  Il  vous  arrive  souvent  d’exceller dans  ce  sens,  toute  chose  qui  est  une  honte  pour  notre  pays.  Avec  qu’il regorge  pourquoi  a-t-il  fallu  que  Mr  Biya  jetât  son  dévolu  sur quelqu’un  d’aussi  nul  pour  assurer  la  communication  au  sein  de  l’un des  ministères  les  plus  importants  de  notre  pays  ?  Boff !  C’était  le  choix d’un  médiocre  sur  un  médiocre !  Et  vous  écriviez  à  votre  fils  pour traiter  un  vrai  communicateur  de  psychopathe,  pour  le  menacer  de mort.  
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En  voulant  jouer  les  pères  religieux  vous  avez  joué  les  pères barbares  et  sauvages.  Est-ce  de  cette  façon  que  vous  éduquez  vos enfants ? Cher  colonel  par  embuscade,  au  lieu  de  passer  vos  nuits  à  fantasmer sur  le  patronyme  de  celui  qui  se  trouve  être  aujourd’hui  votre  pire cauchemar, vous feriez  mieux de  résoudre les deux problèmes majeurs auxquels  vous  êtes  confrontés.  
Cherchez  pour  vous  un  répétiteur  à domicile  qui  vous  apprendra  à  communiquer  ;  lorsque  vous  l’aurez  fait voici  pour  vous  un  brillant  exercice  :  écrivez  un  article  sincère  sur  la réalité  du  quotidien  de  nos  frères  enrégimentés  dans  le  NOSO  ;  nous vous  noterons,  puis  ensuite,  vous  pourriez  apprendre  à  tirer  à  la mitraillette  en  attendant  que  nous  dégagions  Biya  et  votre  clique  le  07 octobre prochain.
 
            
        


 
 










