Isolement de Gabriel Zabo : une incroyable histoire de sexe détectée dans la Tanière

• Les Lionnes sont critiquées à cause de leurs prestations à la CAN

• Le Cameroun ne convainc pas véritablement

• La solution miracle est toute trouvée pour redresser la barre

La Coupe d’Afrique des nations féminine (CAN 2022) ne sourit pas à l’équipe nationale du Cameroun. Les Lionnes indomptables ne totalisent que deux (02) points après deux (02) matchs joués. La situation ne serait pas si alarmante si c’était un outsider. Seulement, le Cameroun est plus qu’une équipe moyenne. Il a plusieurs fois disputé la finale de la même compétition, même si le pays les a toutes perdues.

Cette année particulièrement, les Lionnes indomptables sont décevantes dans le jeu et les résultats ne suivent pas. Les matchs se suivent et se ressemblent pour les pouliches du sélectionneur Gabriel Zabo Toze qui est de plus en plus sur la sellette.

Jeudi le 08 juillet 2022, ce n’est pas le coach principal Zabo qui a dirigé la séance d’entraînement des Lionnes indomptables. Elle a été effectuée par Serge Noah qui est le directeur technique national.

« Le sélectionneur des Lionnes, Gabriel Zabo Toze mis à l’écart ce jeudi, lors de la séance d’entraînement. Le DTN Serge Noah, dont personne n’a trace de ses faits armes dans un club et qui peine déjà à assumer les fonctions pour lesquelles il a été nommé depuis trois (03) ans, a pris les commandes », a expliqué le journaliste Christel Leger Tientcheu.

L’écrivain et homme de média Vincent-Sosthène Fouda-Essomba a commenté l’actualité autour de l’équipe nationale féminine du Cameroun. Pour lui aussi, c’est le sélectionneur et son staff technique qui posent problème.

Outre le remplacement de personne, il va plus loin en militant pour un changement de genre. C'est le sexe de l'entraîneur qui pose problème, du point de vue de Vincent-Sosthène Fouda-Essomba. Par conséquent, c’est une femme doit diriger l’équipe si on veut avoir de meilleurs résultats, selon l'écrivain.

L’équipe nationale féminine de football est vieillissante. C’est une génération qui a beaucoup donné. Deux (02) participations à une phase finale de Coupe du monde. Sur le plan national, rien n’a été fait pour organiser la pratique du football dans nos écoles, nos lycées. Il n’y a pas vraiment de championnat susceptible de faire éclore des talents », a écrit Vincent-Sosthène Fouda-Essomba.

Le journaliste ajoute également qu’à la dernière Coupe du monde en France, « nous demandions déjà que l’équipe soit confiée à madame Enganamouit mais à la condition qu’elle passe ses diplômes. Si l’on veut que les filles jouent au football, elles doivent être sélectionnées par des femmes, entrainées par les femmes, sinon nous aurons un sport d’hommes pratiqué par des femmes, il ne me semble pas que ce soit l’objectif ».