Depuis que David Pagou a dévoilé sa liste, l’air autour des Lions Indomptables sent la rumeur tiède comme un vestiaire sans ventilation. On dirait même que certains esprits malins ont décidé d’arroser la préparation de la CAN 2025 d’un petit parfum de sabotage maison.
D’après les chouettes insomniaques qui guettent chaque faux pas de la FECAFOOT, plusieurs joueurs appelés par Pagou envisageraient de plier bagage avant même d’attacher leurs crampons. Motif ? Un environnement « toxique », ambiance brumeuse, et un climat de travail aussi accueillant qu’un coup franc de 40 mètres en pleine tempête.
Au centre du remue-ménage : un vestiaire fissuré par des mises à l’écart jugées aussi incompréhensibles qu’un hors-jeu sans VAR. La confiance envers la Fédération, elle, semble avoir fondu comme une pelouse en saison sèche. On accuse même la maison Fecafoot d’avoir soigneusement coupé l’équipe en tranches, écartant certains cadres sans la moindre justification, histoire de semer un doux parfum d’incertitude.
Et comme dans toute bonne saga, un nom revient en première ligne : Carlos Baleba, présenté comme le chef de file des contestataires face aux exclusions imposées. Intox ou vérité prémâchée ?
Avec l’historique des bruits de couloir, plus rien n’étonne. On se rappelle encore de cette belle fable où on lui prêtait la mauvaise volonté de refuser une voiture affrétée par la Fecafoot à l’aéroport. Un classique du genre.
Avec Le Popoli









