Les élections locales au Cameroun, reportées à mars 2026, s'annoncent cruciales pour Douala. Selon des informations exclusives de Jeune Afrique, la capitale économique, souvent perçue comme un fief de l'opposition, est en réalité sous le contrôle du RDPC. Cet article explore les enjeux et les défis des prochaines élections locales à Douala.


Les maires des six arrondissements de Douala, tous membres du RDPC, jouent un rôle central dans la préparation des élections locales. Jeune Afrique révèle que des figures comme Jean-Jacques Lengue Malapa et Denise Fampou sont des piliers du parti au pouvoir. Leur capacité à mobiliser les électeurs et à gérer les dynamiques locales sera cruciale pour le RDPC.

Malgré la réputation de Douala comme bastion de l'opposition, les partis d'opposition font face à des défis majeurs. Les révélations de Jeune Afrique montrent que l'opposition est fragmentée et manque de cohésion. Les élections locales seront un test crucial pour leur capacité à s'unir et à présenter un front commun contre le RDPC.

Le RDPC utilise une combinaison de tactiques pour maintenir son contrôle sur Douala. Selon Jeune Afrique, le parti au pouvoir mise sur des projets de développement local, la gestion des élites et des alliances stratégiques pour assurer sa victoire. Les élections locales seront un indicateur clé de l'efficacité de ces stratégies.

Les élections locales à Douala s'annoncent comme un moment décisif pour la politique camerounaise. Les révélations exclusives de Jeune Afrique montrent que le RDPC est bien préparé, mais l'opposition a encore une chance de se mobiliser. Les prochains mois seront cruciaux pour déterminer l'avenir politique de la capitale économique.