Le cas Nwafo fait couler beaucoup d'encre et de salive. Le père de Lydol n'est pas à son premier meurtre, selon Zang. L'activiste, dans des révélations que la rédaction de CamerounWeb n'est pas en mesure de confirmer, explique que Nwafo est un récidiviste et qu'il est protégé par une personnalité au sommet de l'État.

Ainsi donc, ce Nwafo avait déjà fait la prison pour avoir tué une personne, mais les manœuvres de sa famille et d'une haute personnalité ont fait en sorte qu'on le libère au bout de 2 ans. Cette haute personnalité est pasteur d'une célèbre église à Yaoundé.

D'ailleurs, l'épouse de cette même haute personnalité qui est pasteur aussi a d'ailleurs joué un grand rôle dans la libération de Tenor qui avait tué une jeune fille dans un accident de circulation. Vous comprenez donc le silence complice des autorités et tout particulièrement celles judiciaires dans ce dossier sensible malgré les revendications populaires de justice.

Le silence des voisins et des environs des protagonistes, a folle rumeur de la mort de ce Nwafo au moment même où il devait se faire écouter par l'enquêteur, vous comprendrez également pourquoi ce Nwafo même attaché sur son lit d'hôpital dit qu'on ne peut rien lui faire car il est "protégé". Cette affaire a des ramifications incroyables. En tout cas, on ne lâche rien.

Ces révélations du membre de la diaspora font immédiatement penser à Oswald Baboke, le directeur adjoint du cabinet civil de la présidence de la République. La description correspond au père d'Indira et mari de Crescence.