Selon des sources non officielles, Jean-Pierre Amougou Belinga, incarcéré dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du journaliste Martinez Zogo, pourrait être libéré ce jeudi 10 juillet 2025. Une information qui suscite une vive controverse.

L'affaire Martinez Zogo connaît un nouveau rebondissement. Des rumeurs persistantes évoquent une possible libération de Jean-Pierre Amougou Belinga, patron du groupe L'Anecdote, actuellement détenu dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du journaliste de Amplitude FM. Cette perspective soulève une vague d'indignation dans l'opinion publique camerounaise.

Les informations, bien que non confirmées officiellement, circulent avec insistance dans les milieux proches du dossier. Selon ces sources, des "accords" auraient été conclus avec les autorités judiciaires pour permettre la remise en liberté de l'homme d'affaires, accusé d'être l'un des commanditaires présumés du meurtre du journaliste.

Cette perspective divise profondément l'opinion publique. D'un côté, les partisans d'Amougou Belinga y voient une reconnaissance de son innocence et le rétablissement de ses droits. De l'autre, les défenseurs de la liberté de la presse et les proches de Martinez Zogo considèrent cette éventualité comme un déni de justice.

L'affaire Martinez Zogo, qui a bouleversé le paysage médiatique camerounais, reste l'un des dossiers judiciaires les plus suivis du pays. Le journaliste de Amplitude FM avait été enlevé le 17 janvier 2023 avant d'être retrouvé mort dans des circonstances atroces, après avoir dénoncé des cas de corruption impliquant plusieurs personnalités.

Jean-Pierre Amougou Belinga avait été interpellé et écroué dans le cadre de cette enquête, aux côtés de plusieurs autres suspects. Son incarcération avait été perçue comme un signal fort de la détermination des autorités à faire toute la lumière sur cette affaire.
Les rumeurs de libération sont alimentées par des informations faisant état de préparatifs dans l'entourage du patron de L'Anecdote. Des sources évoquent la remise en état de véhicules de luxe et l'acquisition de nouveaux automobiles haut de gamme, suggérant une préparation à un éventuel retour à la vie normale.
Ces éléments, bien que non vérifiés, contribuent à nourrir les spéculations et renforcent les craintes d'une issue favorable pour l'homme d'affaires dans cette affaire judiciaire sensible.

Cette perspective de libération suscite des réactions contrastées au sein de la société civile camerounaise. Les organisations de défense des droits de l'homme et de la liberté de la presse expriment leurs inquiétudes face à ce qui pourrait être perçu comme un recul dans la quête de justice pour Martinez Zogo.

Les défenseurs de la liberté de la presse rappellent que cette affaire constitue un test pour l'indépendance de la justice camerounaise et sa capacité à traiter équitablement les dossiers impliquant des personnalités influentes.

Au-delà du cas spécifique d'Amougou Belinga, cette affaire pose la question plus large de l'efficacité du système judiciaire camerounais dans le traitement des crimes contre les journalistes. Le Cameroun figure parmi les pays africains où l'exercice du journalisme reste périlleux.
L'issue de cette affaire sera scrutée comme un indicateur de la volonté des autorités de protéger les professionnels des médias et de garantir la liberté d'expression dans le pays.

En l'absence de confirmation officielle de la part des autorités judiciaires, ces informations restent à prendre avec prudence. Les familles des victimes, les organisations de la société civile et l'opinion publique attendent des clarifications des autorités compétentes.








ALERTE MAXIMALE : Ils veulent libérer Amougou Belinga !

Le scandale prend une tournure insupportable. Amougou Belinga, désigné comme l’un des commanditaires du meurtre atroce du journaliste Martinez Zogo, pourrait sortir de prison ce jeudi 10 juillet 2025.

Oui, vous avez bien lu.

La machine de l’impunité est en marche.
Ses proches jubilent déjà, clamant partout que "tout est calé" : des accords auraient été passés avec les juges et des hautes sphères du pouvoir pour lui rendre sa liberté. Une liberté tachée de sang.

Pendant que la famille de Martinez Zogo pleure encore, eux préparent la parade de leur bourreau :

Voitures de luxe rénovées,

Parc automobile reluisant,

Une Maybach flambant neuve pour son grand retour...

Voilà ce qui se trame dans l’ombre.

Le message est clair : tuer un journaliste n’empêche pas de rouler en limousine.
La justice est en train de plier. Le peuple doit se lever.