« C'est grave, Chantal Biya et compagnie risquent la prison », mots introductifs d'une publication du lanceur d'alerte Paul Chouta. Le journaliste cite des passages du Code pénal pour expliquer son opinion.

Article 223-15-2 du code pénal en France. Version en vigueur depuis le 12 mai 2024, modifiée par Loi n°2024-420 du 10 mai 2024.

Art. 3 Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 375 000 euros d'amende l'abus frauduleux de l'état d'ignorance ou de la situation de faiblesse soit d'un mineur, soit d'une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur, pour conduire ce mineur ou cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables.

Comme vous pouvez le constater sur cette vidéo, Biya ne sait plus si les invités sont à gauche ou à droite. C'est Chantal Biya qui lui souffle quoi faire. Comment un vieillard dans cet état peut diriger un pays ? En réalité, Biya est invalide.

Il est assommé par le poids de l'âge. Il est physiquement et psychologiquement touché. Chantal Biya profite de sa vulnérabilité pour diriger le pays avec Oswald Baboke, Ferdinand Ngoh Ngoh, Samuel Mvondo Ayolo, etc. Tous ceux qui soutiennent cet acte sont des criminels.