Actualités of Tuesday, 7 October 2025
Source: www.camerounweb.com
Tous les citoyens et les citoyennes ont le droit de soutenir un candidat à l'élection présidentielle. C'est même un droit. Chaque Camerounais a le devoir de voter pour la personne qu'il veut voir à la tête du pays. Le 12 octobre prochain, tout le monde se prêtera au jeu pour offrir un mandat de sept ans renouvelable plusieurs fois à l'un des plus de dix candidats engagés dans la course.
Le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC) a placé son candidat. Il y a plusieurs mois, on doutait de la personne qu'il présentera à l'élection. Un nombre incalculable de fois, des noms sont sortis dans la presse, dont celui de la première dame Chantal Biya, du fils du président Emmanuel Franck Biya ou encore des collaborateurs de longue date comme Ferdinand Ngoh Ngoh (secrétaire général de la présidence de la République), Samuel Mvondo Ayolo (directeur du cabinet civil de la présidence de la République), etc.
Finalement, c'est l'homme de 92 ans, au pouvoir depuis 1982, qui a de nouveau obtenu la confiance du parti. Face à lui se trouvent des candidats sérieux de l'opposition, notamment les deux qui ont déjà travaillé avec lui et qui sont Issa Tchiroma Bakary du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC) et Bello Bouba Maigairi de l'Union nationale pour la démocratie et le progrès (UNDP). Maurice Kamto, lui, grosse figure de l'opposition, a été recalé parce que sa candidature ne respectait pas les règles établies en la matière.
L'influenceuse Coco Emilia a eu le temps de voir la chose plus clairement. Elle a un favori, une personne pour qui elle bat un mini campagne sur les réseaux sociaux.
De quoi faire dire à un célèbre activiste que Biscuitdemer (surnom de Coco Emilia) est donc officiellement la première influenceuse du pays à assumer publiquement sa proximité avec le parti en question.
« L'huile de ce mouvement ruisselle jusqu'aux deux parties de sa poitrine. En même temps si elle n'affiche pas publiquement son appartenance, le robinet des clients du sommet de l'État se ferme pour elle », précise l'intervenant.
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Pour Zang, il est donc mieux, selon Coco Emilia, de s'exhiber « afin de prouver que les vieilles marmites continuent à faire de bonnes sauces ». Dans la photo en question, comme on peut le remarquer, la jet-setteuse est habillée avec le pagne du parti au pouvoir, témoignant ainsi, en cette période, son soutien à Paul Biya.