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Soccer News of Friday, 15 April 2016

Source: camfoot.com

Ligue 1: Botafogo accroche Racing

Botafogo FC de Douala Botafogo FC de Douala

C’est au forceps que la rencontre entre le Racing FC de Bafoussam et Botafogo FC de Douala comptant pour onzième journée du championnat national Ligue 1, est arrivée à son terme. Alors qu’on joue le dernier quart d’heure, la pluie qui s’invitée à la partie à l’entame de la seconde période va prendre ses aises.

Malgré cela Paul Tchouta, l’arbitre central, laissera la rencontre se poursuivre nonobstant l’aire de jeu transformée en bourbier. A peine le temps règlementaire est franchi qu’il se précipite à siffler la fin de la rencontre. Ni Racing, ni Botafogo n’a pris le dessus.

Le match

Après un début timide, les acteurs se réveillent lorsque Ngongang allume la première étincelle de la rencontre. Mis sur orbite par l’un des siens, l’attaquant du Tpo enclenche une frappe sèche qui va finir dans les bras d’Armel Tobia, le dernier rempart de Botafogo (15ème).

Quelques minutes plus tard, Ngongang va à nouveau se mettre en évidence. Cette fois-là, son tir effleure la barre transversale (17ème). La domination du Racing est nette. Une offensive de cette équipe est illicitement stoppée par un défenseur de Botafogo, sur le couloir droit, non loin de la surface de réparation. Le coup franc accordé est tiré Ekwem. Son centre enroulé arrive sur la tête de Yombi qui saute plus haut que tout le monde pour catapulter la balle au fond de la cage de Tobia (1-0, 25ème).

Après ce but, Racing recule, Botafogo monte à la quête de l’égalisation. Sur un coup franc bien tiré Rodrigue Tchatchoua, la tête piquée de Simon Tjeck, l’avant-centre des noir et rouge de la capitale économique, finit dans le petit filet. Loin de se décourager, les poulains de Maurice Mpondo maintiennent la pression. Leur grosse débauche d’énergie est enfin récompensée. Remuant sur le flanc droit, Aristide Biket permet à son équipe d’obtenir un corner.

Lui-même se charge de le tirer et trouve Paul Otia qui, d’une puissante tête, rétablit l’équilibre (1-1,40ème). Châtiés dans leur antre de Bamendzi, les poulains de Guy Bertin Djiepnang tentent en vain de sonner la révolte, jusqu’au terme de la première période. La seconde va commencer une aire de jeu trempée. Ce qui sera à l’origine d’un jeu haché qu’étalent les deux formations jusqu’au coup de sifflet final.