Un fait politique remarquable en cette année électorale au Cameroun: le président du FSNC Issa Tchiroma exclut définitivement de son parti ce 11.08. madame Sonè Ekolo Jeanne alors secrétaire générale dudit parti pour "faute grave"...
Nous, enfants autochtones du Moungo de conscience politique aiguë et d'amour profond pour notre terroir diront à Tchiroma et ses acolytes nouveaux et anciens de nous savoir non amnésiques.
Nous tenons des connaissances scientifiques valides et soutenus et partageons une passion d'activisme politique sur plusieurs générations déjà concernant l'histoire politique contemporaine du Moungo notre terre ancestrale. Vu de par cette trajectoire, nous venons lui dire du haut de notre fierté Moungo que son acte d'exclusion ne restera à jamais que dans l'absolu d'un épiphénomène notoire à caractère gesticulatoire et pour la cause de basses manipulations politicardes.
Autant nous avertissons marteler dans le futur de par dessus tous les prochains gouvernements et régimes politiques possibles dans notre pays de notre vérité historique par faits vécus témoignés et écrits des crimes de l'ALNK dans le Moungo de 1958 à 1971 avec pour corollaire la prédation foncière principalement des ressortissants de l'Ouest du Cameroun que nous continuerons de clamer haut et fort, pour besoin de justice dans un nouveau Cameroun pacifié.
Nous rassurons Issa Tchiroma savoir pouvoir survivre à ce que nous percevons par son acte comme une seconde trahison et un second assassinat politique à l'endroit de Eboua Samuel premier président de l'UNDP qui comme madame avait été écarté à la veille d'une élection présidentielle.
Nous savons aujourd'hui ce pourquoi lui et ses acolytes d'hier ont mis de côté Samuel Eboua à savoir pour le bénéfice de leur pouvoir, leur famille et leur panse.
Oui, nous ne sommes pas amnésiques et prenons note du chapitre nouveau de l'histoire du Cameroun que vous Issa Tchiroma continuer de souhaiter pour le Moungo.
Hier, vous avez manipuler avec vos acolytes à peindre Samuel Eboua comme étant un tribaliste notoire, aujourd'hui c'est au tour de Jeane Sonè Ekolo. Nous savons que vous aviez souhaiter vous rendre auprès de la tombe d'Ahmadou Ahidjo, nous sommes ici d'accord avec vous du fait de la bataille mémorielle comme la future mère des batailles politiques dans ce Cameroun de communautés dont vous avez été un des gérants ces 20 dernières années: nous en prenons défi!