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Opinions of Tuesday, 15 November 2022

Auteur: Francis Bonga

Un ancien employé d'Amougou Bélinga prend la défense de Eto'o contre Boris Bertolt et Cie

Francis Bonga Francis Bonga

Ils s’appellent Moussa Njoya, Boris Bertolt, Armel Stéphane, Valsero, Sandy Boston, Hogo Bossoken, Arol Ketch, Ilias Kpoumie, Mamadou Mota, Okala Ebode, Joseph Emmanuel Ateba, Darling Nguévo, Christian Ntimbane Bomo, Mohammadou Idrissou, Paul Chouta, Shance Lion, Joel Désiré Engo, Félicité (Nkolo) Zeifman, Valentin Siméon Zinga, Benjamin Zébazé, etc.

Qu’ont-ils en commun ? Rien si ce n’est que, derrière leur clavier, ils livrent une gue.rre sans merci à Samuel Eto’o, un « ennemi » qui ne leur a pourtant rien fait. Pour eux, c’est presqu’un un jeu dont les réseaux sociaux sont le bac à sable. Toutes les deux ou trois heures, ils lui balancent un obus et se délectent des commentaires extasiés de leurs followers.

Certains, à l’instar de Boris Bertolt ou Ntimbane Bomo, ont transformé cet espace de liberté en ring de boxe. Que dis-je, la boxe étant un combat très réglementé, il s’agit davantage de MMA. Tous les coups y sont permis. Ils disent user de leur droit à « critique ».

Il parait qu’exercer le « droit à la critique » c’est affubler Samuel Eto’o de surnoms disgracieux tels que « Dadis Camara » ou Sam Soya ». Exercer le droit à la « critique », c’est traiter de « Bandit », de « Feyman », de président de la « Feycafood » le seul Came rounais dont la fortune est à 1000% traçable, parce qu’elle s’est construite sous nos yeux, au fil d’une carrière exceptionnelle.

Même si toutes leurs prévisions apocalyptiques tombent à l’eau les unes après les autres, ils ne s’arrêtent pas, ne s’excusent pas auprès de leurs lecteurs, ne se remettent jamais en cause. Ils passent juste à la prochaine ignominie.
Admettons que, dans une acception toute camerounaise, ce concert d’insultes relève du « droit à la critique ». Admettons ! Mais à force de répétition, à quel moment la « critique » devient-elle harcèlement ? Savez-vous que