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Opinions of Samedi, 4 Décembre 2021

Auteur: Anderson Keiga

'Aurélien Sosso est victime d’une campagne de déstabilisation'

Vue de l'Université Vue de l'Université

Répondant aux informations selon lesquelles, le Prof Aurélien Sosso est devenu fou et autres informations à son sujet, Anderson Keiga, Doctorant au sein de la même université dénonce une campagne de déstabilisation orchestrée par les détracteurs du recteur de l'Université de Yaoundé 1.

Ci-dessous la tribune de M Keiga

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" C’est avec un sérieux recul, doublé d’une bonne dose d’humilité et d’une déférence aux valeurs éthiques que je me prononce pour signifier ma consternation face à l’attitude de certains «imminents Professeurs», de « hauts cadres de l’administration Universitaire», qui peinent à passer de l’affection à la réflexion. L’acuité du fonctionnement de l’Université de Yaoundé I depuis quelques années, nous amènent à dire sans risque de se tromper, que le Recteur de cette institution est victime d’une vaste campagne de déstabilisation par des individus médiocres qui ont décidés de réfléchir par procuration et par méchanceté.

Qu’il me soit donc permis en prolégomènes de dire que mon discours est loin d’être dithyrambique, loin d’être entaché de propos perfides et démagogues ; mais est basé sur des faits rationnels, objectifs, car dit-on les faits sont têtus et sacrés. Une sagesse africaine le dit si bien : «vaut mieux être le premier à se renseigner et à apprendre que d’être le premier à se tromper».

Sieur Boris Bertolt aurait manqué de se renseigner assez et s’est laissé agis en traitant de fou et d’acteur de mal gouvernance un patriote tels le Recteur Sosso. A se demander si le bon sens est réellement la chose du monde la mieux partagé ! Se serait-il arrêter aux portes de Boris Bertolt ? Il faudrait forcément être le fruit d’une masturbation intellectuelle négativement fertile et être victime d’une réflexion par procuration pour sortir de pareilles élucubrations telles celles de Boris Bertolt. Comment pourrait-on croire que l’on puisse se rebeller, accuser, saboter, menacer et même ternir l’image d’un ambassadeur de l’éthique et de la bonne gouvernance universitaire tels celle du Professeur Recteur Sosso.

En effet, voici un homme qui à son arrivé à la tête de cette université, trouve une institution agonisante, gémissante, en proie au laissez aller administratif, à la débandade estudiantine, au bord de la crise, à des infrastructures de l’ère de mathusalem, et décide de faire de la bonne gouvernance son crédo. Tout comme le jeune Jésus qui chassât à coup d’autorité les marchands dans le temple de son père, le «jeune» Maurice Sosso à cette époque a livré et continue de livrer une lutte acharner contre les ténèbres au sein de l’université et a réussi à illuminer et à hisser le temple du savoir de l’université de Yaoundé I au sommet de l’Afrique noire Francophone et au top des universités du monde.

Bâtisseur hors échelle de nouveaux bâtiments, artisan des logements estudiantins bien lotis et rénovés, maitre d’œuvre du WIFI gratuit sur l’étendue du campus, un mendiant de la paix qui sait de qui tenir, le Recteur Sosso n’as pas hésité de se livrer soi-même à l’autel des menaces et des coups bas afin de garantir le bien-être infaillible de ses étudiants et s’est toujours battu bec et ongles contre les ennemies de la paix et de la stabilité au sein de l’université de Yaoundé I .

Cherchant à tout prix et à tous les prix de semer du chaos au sein du campus, certains « Imminents Professeurs », de « hauts cadres de l’administration Universitaire », absentéistes, fauteurs de troubles, rebelles, apôtres de « je remets à demain », ont décidés de remettre à demain l’avenir des futurs Maitres et Docteurs en refusant de traiter les dossiers de sélection en Master et en Thèse afin de les inciter à la révolte. S’étant acquérir de cette situation, l’infatigable Recteur tels un lion blessé, a fermement rugit et agit face à ces absentéistes, incompétents qui ont voulu sacrifier l’avenir de l’élite intellectuel. Il en a fallu de peu, et le temple du savoir se serait transformer en temple d’instabilité sociale. Ironie du sort, le combattant acharné du bien être des étudiants, se voit remercier tel un chien avec des cailloux par une bande de fausser, de brigands, qui n’ont pour seuls objectifs l’ensanglantement et la mise à feu du temple du savoir de l’université de Yaoundé I. On à faire à une clique de cadres qui ont encouragé la vente des PB Hev et soutenu les détourneurs de ces Ordinateurs, encourage la lenteur académique, menacent à coups de mains et de machettes, prend en otage les listes de sélections en Master et en Thèse et se comporte en des sans foi ni loi. Le chef de l’institution a agi et nous sommes sidérer de voir qu’exiger à ces cadres du sérieux, de la présence, de la rapidité et de la limpidité dans l’exercice de leurs fonctions soit vu au Cameroun et à l’université de Yaoundé I tel un acte de mal gouvernance.

Ceci étant, si se soucier des étudiants : en veillant à ce qu’ils aient leurs résultats à temps, en s’assurant qu’ils aient des amphis décents pour leurs cours, des logements à la bourse des plus démunie, en veillant à la résolution rapide et efficace des problèmes académiques, en se battant pour davantage hisser encore plus haut l’université de Yaoundé I, constitue des actes de folies et de mal gouvernance, alors Monsieur le Recteur Sosso, soyez fière de votre style de mal gouvernance. Vous exercez ce que nous pourrions qualifier de ‘bonne mal gouvernance’. Les étudiants ne sont pas dupes et contrairement à certains, les étudiants ne réfléchissent pas par procuration. Rassurez-vous qu’ils sont conscients du gros sacrifice que vous faites pour eux et vous prie seulement de ne pas vous lasser de faire de l’université de Yaoundé I un véritable havre du Savoir. Que l’agitation de l’obscurité et des ouvriers du désordre social ne vous fasse aucunement regimber. Telle une lumière à incandescence éternel, ne vous lasser pas Monsieur le Recteur de vous battre contre les ennemis du bien des étudiants. Allez, dénoncez, réprimandez, et chassez si besoin l’exige tous ceux-là qui s’érigent en ambassadeurs d’instabilité et de désordre universitaire au lieu d’hisser haut les idéaux de paix et de stabilité propres et chères au Président de la République du Cameroun son excellence Paul Biya. Force à vous le Chef, le Patron de l’Institution Universitaire de Yaoundé I! "