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Sports Features of Monday, 11 April 2016

Source: camfoot.com

Aigle - Racing (0-0): Les réactions

Guy Bertin Ndjiepnang, entraîneur Racing Guy Bertin Ndjiepnang, entraîneur Racing

Joseph Ndoko, entraîneur Aigle : Très déçu, mais je préfère laisser les arbitres de cette rencontre à leur conscience. Le match n’a pas été ce qu’on attendait. Quand je regarde le travail que nous avons abattu en semaine, il fallait qu’on cherche mieux que ça (...)

A un certain moment, nous avons des gamins qui ne comprennent rien. Je ne sais pas s’ils savent ce qu’est le football de compétition, ils ne se réveillent pas.

En semaine, on a fait un travail, et lorsqu’on arrive en match, ils se montrent timorés, incapables de se mouvoir comme d’habitude pour faire la différence comme si les joueurs qui sont au Racing ont six pieds. Il faudra que je les secoue un peu pour les réveiller (...) Le championnat est toujours compliqué.

On aurait pu croire que le match contre le Racing allait être facile pour nous, mais ça a été très compliqué chez nous. On a gagné (1-0) contre Ums avec une manière qui n’est pas la nôtre, aujourd’hui (dimanche 10 avril), on s’est permis de produire une fois encore un jeu haché qui n’a rien à voir avec ce qu’on apprend en semaine. Il faudrait que les joueurs m’expliquent pourquoi ils se comportent comme ça ...

Bien entendu, nous avons un certain Eméka qui pour moi est très talentueux, mais à chaque fois qu’il entre, il joue seulement pour lui, il n’est pas collectif. Alors que nous pratiquons un sport collectif. Je comprends néanmoins, c’est encore un problème psychologique qu’il faudra travailler.

Guy Bertin Ndjiepnang, entraîneur Racing : On peut être déçu au vu du nombre d’occasions que nous nous sommes procurées en première période. En seconde manche, Aigle a pris le match à son compte. Dieu merci, on s’en tire avec un point à Dschang. Puisqu’au vu de la physionomie de la deuxième manche, ce n’était pas évident (...)

Nous avons beaucoup donné en première période, ce qui a fait que nous laissons beaucoup d’armes sans pouvoir prendre l’avantage. C’était un peu normal que l’on subisse en deuxième période. On a subi, heureusement pour nous, on n’a pas craqué.