Comme vous le voyez sur cette image, la Confédération Sécessionniste de l'État du Centre-Sud ne se sent pas du tout concernée par ce qui se passe dans son pays voisin, le Cameroun.

ET LÀ RÉSIDE TOUT LE PROBLÈME. Ils vivent dans un monde à part, résumé en trois programmes : manger, boire, sexer.

LA MARCHE DU SIÈCLE doit remédier à ça au plus vite.

Nous devons aller chercher le pouvoir là où il se trouve. Et c'est À YAOUNDÉ, et nulle part ailleurs !

Les Camerounais doivent cavaler dans les tous prochains jours vers Yaoundé (à une date convenue), et imposer (j'insiste, IMPOSER par LA FORCE DU NOMBRE, la DISSOLUTION D'ELECAM, la DISSOLUTION DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL, et la REMISE À ZÉRO DU PROCESSUS… Bref le RENVERSEMENT DE TOUTE LA TABLE, afin de se donner la possibilité de constituer un vrai fichier électoral, la possibilité d'organiser une vraie élection présidentielle, et d'élire enfin un dirigeant qu'ils auront eux-mêmes choisi parmi tous les candidats possibles, et sur la base de son PROGRAMME POLITIQUE, pour construire l'avenir du Cameroun.
Voilà ce que notre pays mérite, après 60 ans de pseudo-indépendance, de manipulation néocoloniale, de sang versé, et de souveraineté volée.

UNE VRAIE RÉVOLUTION ; la NÉPALISATION DU CAMEROUN, en passant par LA CAPITALE!

N'zui Manto, mon frère du village, je t'appelle encore une énième fois solennellement, pour que soit organisée la CAGNOTTE-EXPRESS, qui va permettre de financer cette démonstration de force populaire. L'argent est le nerf de toute guerre, et il faut mobiliser des fonds dans les plus brefs délais, sans calculs ni hésitation, ni longue réflexion inutile. Tu es le seul à posséder l'audience nécessaire pour rassembler une telle force financière en moins de 48 heures, afin que soit organisée toute la logistique nationale permettant de faire converger un million de Camerounais vers Yaoundé en un seul jour, à partir de toutes les autres villes du pays !

Les Camerounais sont prêts à cotiser. Ils le feront EN QUELQUES HEURES, et AVEC UNE RAGE FOLLE !

L'intégralité de cet argent sera distribué aux acteurs principaux de la mobilisation sur place, afin qu'ils se procurent des charters de transport, des vivres, de l'eau, et des mégaphones pour crier leur haine (oui oui, leur HAINE PROFONDE) envers le gang d'assassins d'Etoudi.
Le seul moyen de faire taire les balles des militaires - ou plutôt des miliciens - de Yaoundé, c'est d'être nombreux. Très nombreux. Très très nombreux. Très très très nombreux.

Bien plus que ça : EFFROYABLEMENT NOMBREUX !

Sinon nous n'avons aucune chance d'atteindre les objectifs ; même si l'on fait tomber toutes les autres régions du pays, LA FINALE SE JOUERA À YAOUNDÉ !!!
Et donc, la Marche du Siècle n'est pas un choix, ni une option, mais un CHEMIN INÉVITABLE, pour donner un sens à tous ces gens qui tombent fusillés par les neveux de Paul Biya, qui, en usurpant l'uniforme militaire censé protéger la volonté populaire, sont plutôt employés comme milice personnelle du vieux grigou, pour sécuriser son pouvoir acquis sans l'avis du peuple depuis 1982.
Ce n'est pas facultatif : LE PEUPLE DOIT FAIRE TOMBER YAOUNDÉ !

C'est l'une des dernières fois que je fais cette sollicitation publique (car les Camerounais doivent aussi en amont être informés et alertés sur ce qui arrive) ; je contacterai bientôt en privé le concerné pour lui forcer la main (exactement !), afin de battre le Koki tant qu'il est chaud. On ne peut pas se permettre de laisser refroidir cette ferveur populaire et de laisser le tyran reprendre le contrôle ; ce serait fichu pour tout espoir de changement, pour les 43 ans à venir !

S'il le faut, ils feront même monter Brenda, le Ndepso national, sur le trône, juste pour ne pas le perdre. Les temps sont graves pour le peuple camerounais ; le défi est énorme ; l'enjeu est historique ; et l'échec nous est interdit. On devra TOUT ESSAYER !

( J'ai une admiration sans nom, et une peine indescriptible pour tous ces jeunes gens exécutés sommairement parce qu'ils réclament simplement leur droit, à savoir la chute du despote qui leur a volé leur liberté avant même leur naissance. On ne leur rendra pas la vie, mais on a la mission historique de donner du sens à leur sacrifice, en écartant définitivement les sacrificateurs !
PAUL BIYA EST PÉRIMÉ ! Ouvrons la poubelle, jetons-le dedans, et allons vider le bac ! )