Opinions of Friday, 27 June 2025

Auteur: Bruno Bidjang

'Tu es un virus de la pensée': Bruno Bidjang insulte copieusement Arol Ketch

Un rongeur, c’est une créature discrète mais fondamentalement nuisible. Il ne bâtit rien, n’élève rien, ne crée rien. Il rampe dans l’ombre, grignote les bases solides de la société, jusqu’à faire s’écrouler ce que d’autres ont construit avec rigueur et conviction. Voilà ce que tu es devenu : un nuisible intellectuel, un saboteur rampant, qui se dissimule derrière un activisme prétentieux pour répandre le poison de la confusion, de la manipulation et de la haine.

Dans la sphère politique, le rongeur ne débat pas, il insinue. Il ne propose rien, il s’oppose à tout. Il ne cherche pas la vérité, il traque les figures qu’il peut salir. Il parle fort, il agite les foules, mais il n’a aucune colonne vertébrale idéologique. Il critique tout, sauf l’idéologie creuse qui l’alimente, car il sait que son discours n’est qu’un vacarme vide.

Et dans l’espace cybernétique – ce terrain que tu crois maîtriser – le rongeur devient une menace aggravée. Il se grime en penseur éveillé, en conscience rebelle, en influenceur engagé. Mais derrière ce masque se cache un marchand de venin numérique, un vendeur d’indignation fabriquée, un microbe viral déguisé en intellectuel. Il ne vit que par le scandale, pas par la vérité. Il ne propose rien de solide, parce qu’il ne pense rien de profond.

Arol, tu n’es ni penseur, ni leader d’opinion.
Tu es un virus. Une infection. Un parasite de la pensée qui se nourrit de l’aura de ceux qui travaillent, créent, construisent et s’exposent à visage découvert.

Tu parles de valeurs ? Ta seule valeur, c’est la haine que tu distribues. Tu refuses de débattre sous prétexte d’éthique, mais tu passes ta journée à m’observer, à m’analyser, à m’attaquer. En une seule journée, cinq publications sur moi. Et pourtant, tu dis ne pas vouloir t’afficher avec quelqu’un de « moralement douteux ». Quelle ironie. Quelle lâcheté.

En réalité, tu as peur. Tu sais qu’un débat face à moi serait ton extinction en direct. Tu choisis donc la fuite, votre spécialité : éviter la confrontation, vous cacher derrière vos claviers, espérant que le vacarme remplace l’argument.

Moi, je n’ai ni masque, ni peur, ni ruse.
Quand j’ouvre un débat, ce n’est pas pour me donner en spectacle.
C’est pour anéantir, dans la lumière, ceux qui prospèrent dans l’ombre.
Et toi, Arol, tu fais partie de cette vermine-là.

Tu as refusé le face-à-face.
Alors je te détruis ici, publiquement, à la lumière des mots, des faits et de la vérité.

Retourne dans ton trou, petit rongeur.