Cameroun : Affaire Jean François Chanon ou comment le système judiciaire au Cameroun tente de protéger un bandit

Apres l'échec de la gendarmerie où le journaliste Jean François Channon Denwo directeur de publication du Messager avait été convoqué pour un article paru dans son journal sur un jeune homme nommé Gildas Kenda Mbatchou, * homme d'affaire fructueux qui vit à Dubaï ". Jean François Channon Denwo reçu a ce novembre alors qu'il était en pleine messe un coup de fil qui l'invité a comparaître le 9 novembre 2022 à 7h30 salle 5 au Palais de justice de Yaoundé Centre Administratif.

Le rouleau compresseur veut s'imposer sur le dos du Messager. Aussi surprenant que cela parraisse. Cette procédure arrive une semaine après qu'il ait signé un article d'analyse dans Le Messager sur l'affaire relative au mandat d'amener d'une haute personnalité camerounaise proche du régime de Yaounde en sursis avec la justice.

Il est demandé au téléphoné au DP du Messager de se rendre en audience au Plaisir de justice de Yaoundé Centre Administratif sans une convocation du Parquet. Sans une citation directe formelle. Une dame qui avait de la peine à prononcer le nom du DP du Messager a appelé par la suite pour lui dire qu'il est convoqué à une audience Palais de.justice de justice dans une affaire qui l'opposé a un certain "Gildas Mbatchou".

Pour Rappel dans son édition du 4 août 2022 a publié en grande Une un article concernant un individu nommé Gildas Mbatchou Kenda a pris à
Un opérateur économique Camerounais une importante somme importante. L'affaire est en justice. L'homme d'affaire a médiatisé l'affaire. Le Messager a mené l'enquête. De manière professionnelle sur la base de faits.

Gildas Mbatchou qui ne vit plus au Cameroun a décidé de faire la peau au Dp du Messager.
La faute du DP est d'avoir publié l'article. Et l'affaire a quitté la gendarmerie, pour atterrir au parquet de Yaoundé Centre administratif.

Une affaire rocambolesque : un escroc en fuite à Dubaï réussit à traîner un journaliste qui a révélé sa feymania devant les magistrats.