‘J’ai une folle envie de tomber amoureuse’, une journaliste camerounaise enflamme la toile

• Il s’agit de Soflane Kengne

• Elle a fait la déclaration sur Facebook

• C’est une tuerie qui enflamme la toile

‘J’ai une folle envie de tomber amoureuse’. Ce sont des déclarations qui ne courent pas les rues. Mais quand cela vient d’une journaliste bien connue dans le landerneau médiatique camerounais, cela a encore une saveur spéciale. Depuis quelques heures Soflane Kengne, journaliste et ancienne animatrice de Sweet Fm a mis le « feu sur Facebook avec cette déclaration aussi mystérieuse que profonde.

Elle a posté cela ce 2 février et les commentaires vont dans tous les sens.
« Cœur brisé ou un cœur tout simplement à prendre ? Difficile de s’y prononcer. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que Soflane Kengne veut être amoureuse. Raison de plus de convenir avec l’écrivain Pierre Corneille qui dans sa tragicomédie Le Cid, enseignait aux lecteurs que « L’amour est tyran qui n’épargne personne »Eh bien, la journaliste n’en n’est pas exempte en faisant cette annonce sur sa page Facebook : « J’ai une folle envie de tomber amoureuse », a-t-elle écrit, accompagné d’une photo qui reflète le sérieux de ses propos », écrit pour sa part le confrère www.lebledparle.com.

Les commentaires vont dans tous les sens. Certains y vont jusqu’à proposer leur service.
« J'ai une folle envie de t'apporter les fruits sur ton lit d'hôpital une fois que tu serais tombé amoureuse et te cassé le bras ou la jambe.Ah ! Que l'amour est violent... », ironise un internaute.

« Prépare bien ton cœur ma sœur. C’est l'amoureux qui subit (souffre) dans l'histoire! », prévient un autre
« Ok je veux t'aider ma chérie ...tu sais que les fleurs roses sont rouges mais toi tu restes unique beauté de canal2 pour moi », souhaite un des fans de la journaliste.

Mais pour la plupart, il s’agit juste d’un buzz de la part de la journaliste de Canal2 International qui veut s’attirer un peu les regards sur les réseaux sociaux. Mais, le 14 février aussi arrive. On ne sait jamais.