'Marlène Emvoutou votre errance psychologique reflète une pauvreté d’esprit'

Marlène Emvoutou aurait-elle trouvé un nouvel adversaire? Accro des réseaux sociaux et connue pour ses statuts à titres polémiques, Caddy Marlène Patience Emvoutou vient une fois de plus enflammer la toile.

Il y’a quelques jours, l’ancienne prisonnière de Kondengui, sur sa page Facebook a dénoncé l’exode rural massif qui sévissait Douala et Yaoundé. Selon elle, cette insurrection populaire dans les deux grandes villes du pays est un cri d’alarme sur la crise sociale.

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Dans ce même poste, la jeune dame accuse ces politiciens qui utilisent ce mal comme «fonds de commerce politique».

Tout un long texte partagé sur son compte pour s’exprimer sur ce sujet. Malheureusement ou heureusement pour elle, dirons-nous, une internaute camerounaise répond sévèrement à sa publication.

«Vous n’êtes pas tribaliste... car vos propos révèlent que vous ne maîtrisez rien, mais rien de rien des migrations populaires…», a-t-elle écrit dans son poste.

Ci-dessous l’intégralité de sa réponse…

« Marlène Emvoutou,

Je vous ai toujours cru tribaliste, recherchant ainsi un attrait à sortir de la misère qui vous étreinte. Mais en vérité, vous ne l’êtes pas. Votre errance psychologique nous montre plutôt une pauvreté d'esprit, car être tribaliste supposerait que l'on soit apte à soutenir au crédible un raisonnement structuré. Ce qui vous fait FORTEMENT défaut.

Vous n'êtes pas tribaliste...car vos propos révèlent que vous ne maîtrisez rien mais rien de rien des migrations populaires.

Vos propos dévoilent vos limites de juxtaposition des causes à effets ; décrédibilisent votre raisonnement appauvri au fait de raccourci à la compréhension.

Non ! Ne peut être tribaliste quand on est tout simplement mal constituée...ce qui relève plus du désordre à assimilation, relevant plus aimablement les gesticulations souffrantes.

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Je vous exhorte donc chère dame, de vous essayer à dépasser la connaissance des mots pour, si possible, arpenter les phrases avant tout raisonnement.

Vous parlez de croissance démographique...à l'échelle du Cameroun forte d'une population de 25 millions et plus, vous reconnaissez que la croissance démographique de Yaoundé serait le fait d'un prétendu exode...soit, ce qui revient à soutenir que sans cette croissance démographique de camerounais par ailleurs, les autochtones de Yaoundé ne représenteraient donc pas le dixième de la population nationale. Alors, sur la perception d'une corrélation de développent en accompagnement de la démographie, il serait donc une anomalie que Yaoundé se voit attribuer des parts substantiel du revenu national et ce d'autant plus que cette région de concomitant n'abreuve pas le revenu national.

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Pour rester à votre niveau...Ydé s'est construite sur fonds de l'État qui originairement étaient le produit des matières premières que cette ville n'y contribue en rien.

La ville survit sur le plan microéconomique du fait de l'activisme des populations d'autres territoires qui en raison de la proximité décisionnel (centralisation) impose dès lors les agents économiques à y être plus présent.

Posez - vous la question de savoir quelle serait la part dans le revenu national des richesses créées par territoires avant de vous interpeller sur l'objectivité de la ventilation des budgets d'investissements locaux.

Chère Madame, savoir les théorèmes ne suffit pas à la compréhension. Cela se révèle plus quand on expose des préceptes hors de leur contexte pour certainement se parfumer d'un prétendu éveil d'esprit.

Sans vouloir se perdre dans vos tares de perceptions des agrégats sociologiques, sociales, économiques, évoquée dans un désordre intellectuel ; posez vous la question si ce sont les forces vives locales des villes que vous nommez qui sont les acteurs actifs, d'hier à aujourd'hui, du pseudo développement dont-il revient aux autorités d'encadrer avec le lot de désolations ambiantes.

En outre, est-ce de ces territoires et ressortissants que découlent les revenus afférent aux réalisations que vous mentionnez, tel un récital d'écolière excitée d'en avoir de l'attention.

Pourquoi ne pas procéder à la décentralisation et ainsi affecter aux territoires locaux le revenu produit des exploitations locales ? si tel était le cas, ouvrez vous l'esprit à vous interpeller sur ce que seraient à l'échelle du Cameroun ces villes que vous accablez par votre simplicité d'esprit !!!

C'est bien là un autre mal que les autorités laissent proférer et dont les malheureux tels que vous s'autorisent à l'opinion misérabiliste.»

DIANE MUKAM

Quelques extraits du post de Marlène Emvoutou