Dirane rompt le silence

Hier, vendredi 17 juin 2016 que l'ex présentateur de l’émission de divertissement de la chaîne nationale a tenu à rétablir la vérité sur sa suspension abusive.

Une histoire qui s'est activée pendant plusieurs semaines sur les réseaux sociaux.

D'un camp comme dans l'autre des raisons de sa mise à l'écart fusaient.

Les supputations ne seront plus au goût des débats. Le public est désormais fixé sur la situation et ce qui a participé à la radiation sans aucune médiation de foly dirane.

Il s'est exprimé sur sa page Facebook en ces mots:

" Moi Foly Dirane malade? Mais de quoi donc? 26 ans sans relâche pour mon émission télévisée ‘Delire’.

Est-ce que je présente des signes de fatigues? Ai je fais une faute à l'antenne? Ai-je été blâmé?

Ai-je reçu une lettre d'avertissement par rapport à façon de présenté?

Les téléspectateurs toujours aussi nombreux sont-ils sans discernement au point de ne pas m'interpeller?

J'apprends avec stupéfaction au travers de Cameroun Tribune de jeudi 17 juin 2016 à la page 23 que je suis malade c'est la cause pour laquelle je ne suis plus présent sur les antennes de la CRTV Télé.

Ces propos ont été tenus par un dirigeant de la CRTV.

Pourtant on m'avait fait comprendre que le sponsor qui s’est intéressé à mon émission ne voulait pas de moi parce que je suis vieux. Est-ce un aveu de conspiration?

En tout cas face à cette rumeur persistante j’ai été soumis à tous les tests médicaux y compris celui de la Schizophrénie, de la folie et même du sida.

Foly Dirane a déposé ces résultats auprès de la direction générale de la CRTV.
Conclusion je ne suis pas fou malade...

En attendant la contre-expertise médicale s'il y aura je continue à avoir un respect pour l'institution qui m'a donné du bonheur pendant des années mais il ne faut pas franchir la ligne rouge.

J'ai un honneur et une dignité comme tout homme cela n'a pas de prix... A bon entendeur...”

Reste à tout un chacun de se fixer sur la compréhension d'une telle injustice au cœur d'un pays démocratique.

Ci-dessous l’intégralité du commentaire…