La concernée se trouve dans une situation compliquée. Elle a une préoccupation qui le prive de sommeil. « Dites, pensez-vous sérieusement qu'un homme puisse pardonner l'infidélité flagrante ? », demande-t-elle en racontant son histoire.

Je suis une jeune dans la vingtaine, mariée depuis 3 ans avec un enfant adultérin conçu quelques mois avant mon mariage. Il y a neuf mois, la vérité s'est sue. Suite à cela, nous sommes séparés et il y a quelque temps, il décide de tout pardonner et nous reprendre.

Mais parfois je crains réellement et me questionne si ce pardon est vraiment sincère car je voudrais avant tout ne pas penser à moi, mais à l'enfant d'abord. Je manque de discernement et je voudrais éviter de prendre une décision qui scellera l'avenir de cet enfant innocent.

Pour être très honnête, j'ai conçu l'enfant avec un ami avec qui j'ai flirté. Aujourd'hui, cet ami à qui j'avais menti en lui disant avoir perdu la grossesse et qui ignorait que j'étais fiancée, est prêt à scolariser l'enfant et à s'en occuper, mais ma famille est contre puisque je suis encore mariée, même si j'avais été répudiée.

J'aime mon mari, mais j'ai très peur, je veux juste ne pas condamner un enfant innocent à cause d'un statut social. Car depuis un mois que je suis retournée dans mon foyer, parfois il arrive qu'ils nous mettent dehors et même qu'il refuse d'aller laisser l'enfant à l'école.