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Infos Sports of Monday, 6 December 2021

Source: www.camerounweb.com

Plan B pour la CAN 2021 au Qatar : un ancien responsable de la CAF fait de graves révélations

Image illustrative Image illustrative

• Il s’agit de l’ancien directeur technique de la CAF, Abdel Moneim Shatta

• Il revient sur une probable délocalisation du tournoi au Qatar

• Les bruits courraient depuis sur un plan B

Il y a quelques jours, Camrounweb faisait part d’un plan B qui serait à l’étude au niveau de la Confédération africaine de football pour parer toute éventualité au cas où le Cameroun de Paul Biya ne sera pas prêt à accueillir l’évènement. Les bruits de couloir faisaient état de deux pays qui partaient favoris pour remplacer au pied levé le Cameroun. Manifestement, le dossier n’est pas abandonné. C’est ce que révèle un ancien haut cadre de la CAF. De quoi donner encore des sueurs froides au Cameroun et aux Camerounais.
Selon le site algérien observalgerie.com, la CAF envisagerait sérieusement un plan B pour remplacer le Cameroun au cas où. « Selon les dernières informations rapportées ce mercredi 24 novembre, la CAF qui a fixé la date du 30 novembre aux Camerounais comme ultimatum, a d’ores et déjà mis en place un plan B pour l’organisation de la CAN-2021 à sa date initiale. Selon les mêmes sources, dans le cas du retrait de l’organisation au Cameroun, le comité exécutif de la CAF aurait choisi deux options : attribuer l’organisation du tournoi au Maroc ou à Qatar », avait annoncé le journal.
Pour l’ancien directeur technique de la Confédération africaine de football, Abdel Moneim Shatta, le dossier du Qatar est toujours d’actualité. Selon lui, les hauts responsables de la CAF envisage clairement de délocaliser la compétition.

« Les comités qui se sont rendus au Cameroun ont vu que le temps n’était pas suffisant pour terminer les préparatifs de la Coupe d’Afrique des nations, mais la Fifa s’occupe de cette question et a ouvert un bureau là-bas pour gérer les choses, a déclaré Shatta à Al Hayah TV relayé par Goal. Le Cameroun lorsqu’il a demandé à accueillir la Coupe des Nations, le nombre de participants au tournoi était de 16 équipes, pas 24, et le stade d’ouverture au Cameroun jusqu’à présent, il y a beaucoup de confusion autour de lui. Si le tournoi n’a pas lieu à temps, aucun pays n’est en mesure d’accueillir le tournoi même s’il est reporté de 3 ou 4 mois, et s’il n’a pas lieu à temps, il sera annulé. Les choses dans l’Union africaine ne sont pas acceptables pour moi, et personne ne nous prend en considération ici sur le continent africain, et il a été facile pour le président de l’Association internationale de football de trouver des solutions au conflit entre la date de la Coupe de Nations et la Coupe du Monde des Clubs, il y a un énorme manque de respect envers le tournoi et l’Afrique qui joue les deux tournois en même temps ».

Shatta a également révélé la possibilité que le tournoi soit déplacé au Qatar si le Cameroun ne dépasse pas la date limite. « La CAF est dirigée par la FIFA maintenant depuis l’apparition de Fatma Samoura sur la scène, tout est possible, et c’est à la FIFA d’approuver que la CAN se tienne en dehors du continent. »

L’on se demande s’il n y a pas un lobbying derrière qui veut que le Qatar accueille la compétition ?





CONFIDENTIEL : certains ministres Camerounais soupçonnés d’avoir ‘vendu’ la CAN au Qatar


Avec les derniers rebondissements dans l’affaire opposant la CAF et le Cameroun concernant les menaces de l’instance faitière qui a exprimé son mécontentement par rapport au retard constaté dans la réalisation des infrastructures notamment le stade d’Olembé, les choses semblent aller vite. Un peu trop vite même. Avant même que le Président Paul Biya n’envoie des émissaires au Caire pour essayer de sauver la situation, des informations concordantes faisait était d’un Plan B concocté par la CAF pour supplanter le Cameroun dans l’organisation de cette compétition.
. « Selon les dernières informations rapportées ce mercredi 24 novembre, la CAF qui a fixé la date du 30 novembre aux Camerounais comme ultimatum, a d’ores et déjà mis en place un plan B pour l’organisation de la CAN-2021 à sa date initiale. Selon les mêmes sources, dans le cas du retrait de l’organisation au Cameroun, le comité exécutif de la CAF aurait choisi deux options : attribuer l’organisation du tournoi au Maroc ou à Qatar », avait annoncé certains médias. Mais pourquoi le Qatar ? L’affaire ne semble pas trop claire.

Cette information, pourtant vraie, paraissait invraisemblable. Mais visiblement, il y a des senteurs d’une haute trahison au sommet de l’Etat même. Selon des confidences de personnes proches de la FIFA et de la CAF, il y aurait des Camerounais qui ont simplement « vendu » la compétition aux Qatari.
« Depuis ma position du Caire en Egypte où j'assisterai dans quelques heures à l'assemblée générale Extraordinaire de la CAF en tant que citoyenne africaine. « Certains amis hauts placés au sein de la FIFA qui assisteront demain à l'assemblée générale et avec qui je partage le même hôtel, me disent et je cite: 《Certains camerounais, ont vendu la CAN camerounaise aux Qatari pour leur permettre de tester leurs installations pour la coupe du monde 2022.En termes simples, ces camerounais ont empoché des millions d'euros des Qatari pour que la CAN Cameroun 2022 se joue plutôt au Qatar et non dans leur propre pays. Il s'agit de certains ministres qui, ayant eut vent qu'ils ne feront pas partie du prochain gouvernement qui semble aussi être le dernier gouvernement sous le magistère de monsieur Paul BIYA, ont décidé de tout "Gâter " En complicité avec certains autres camerounais travaillant au sein de CAF. Le président camerounais a été mis au courant par certains de ses réseaux Suisses et Russes. Il a alors dépêché son secrétaire général à la présidence qui devrait atterrir d'un moment à l'autre au Caire... », lit-on sur la page Facebook du blog Winniemarym24.

Cette sortie confirme sans doute les bruits qui courraient derrière cette affaire. Le Cameroun joue gros. Tout peut encore se passer. Actuellement les émissaires du président Paul Biya sont sur place. L’opinion camerounaise attend avec impatience les conclusions de cette Assemblée générale où se joue l’a