Vous-êtes ici: AccueilSport2021 11 01Article 626200

Infos Sports of Lundi, 1 Novembre 2021

Source: www.camerounweb.com

Quête des binationaux : le Cameroun essuie deux revers

Image illustrative Image illustrative



• Pour la CAN, le Cameroun drague quelques binationaux

• On évoque les noms de William Saliba et Bryan Mbeumo

• L’opération n’a pas été une réussite



Pour se donner des chances de remporter la prochaine coupe d’Afrique des nations qu’il organise, le Cameroun veut miser sur tous ses atouts. L’ossature actuelle des Lions indomptables est intéressante, mais le pays ne peut pas refuser des renforts de taille. C’est pour cela, le sélectionneur national a entamé des démarches pour faire venir dans la tanière des Lions, quelques joueurs binationaux qui n’ont pas encore évolué avec l’équipe nationale et qui sont susceptible de le faire ? Mais selon les informations, cette démarche n’a véritablement pas abouti. Cette opération viserait notamment deux joueurs.

Selon nos confrères du site footazimuts.com, les deux binationaux Camerounais ont décliné l’offre de rejoindre la tanière des Lions Indomptables. Depuis son arrivée à la tête de l’encadrement technique des Lions Indomptables, le sélectionneur Antonio Conceiçao, a entrepris d’attirer les binationaux dans la tanière. S’il a réussi à convaincre James Léa Siliki, la tâche, par contre, ne semble pas aisée pour les autres. Selon footazimuts.com, William Saliba (20 ans), le défenseur de l’Olympique de Marseille et Bryan Mbeumo (22 ans), les espoirs français, ont décliné l’offre de jouer pour le Cameroun.

Nos confrères rapportent que ces internationaux français auraient évoqué le manque d’organisation autour de la sélection nationale camerounaise pour motiver leur refus.

Le Cameroun a déjà le potentiel et pourrait faire beaucoup de choses avec l’équipe actuelle. Seulement, c’est une question d’organisation. Si on se rappelle le désordre qui a entouré le match retour face au Mozambique avec l’annulation de vol et le voyage à la dernière minute de la délégation camerounaise pour le Maroc, l’on se dit qu’il y a encore du chemin à faire. Dans ces conditions il est assez difficile d’attirer des binationaux qui sont déjà habitués à une organisation très professionnelle au niveau de leurs clubs et pays d’accueil.