Onana Et Compagnie : De La Fanfaçon Aux Fake News

Aucun joueur convoqué par David Pagou n’a refusé la sélection. C’est un mensonge fabriqué par des blogueurs affamés qui survivent à coups de ragots. La réalité est tout autre : les joueurs sont enthousiastes. Ils l’affichent fièrement sur leurs réseaux sociaux. Mieux encore, leurs clubs se réjouissent de les voir représenter leur nation à la CAN. Les seuls qui froncent les sourcils, ce sont les manipulateurs professionnels qui espéraient un chaos pour continuer à exister.

Qu’on se prépare : les fake news vont pleuvoir dans les jours et semaines à venir. Même en pleine CAN, la milice numérique de Mouelle Kombi se mettra en ordre de bataille pour tenter de foutre le désordre. Ces gens-là n’ont besoin de rien d’autre que de miettes pour se vendre. Leur carburant, c’est la diffamation.

Le tsunami de Tsinga a balayé un système pourri. L’entraîneur médiocre Marc Brys a été expulsé, et c’est une bonne nouvelle. Mais ce n’est pas tout : les joueurs qui avaient transformé la tanière des Lions indomptables en maison close ont été éjectés sans ménagement. La coupe était pleine. Le Cameroun étouffait sous le désordre, l’arrogance et l’impunité. Pendant des mois, Kamerfoot a dénoncé ce cirque, mais Brys et ses protégés avaient le parrainage du ministre Mouelle Kombi et de quelques courtisans accrochés à leurs privilèges.

Le cas Onana est une leçon. Dans la tanière, le joueur le plus ingrat de l’histoire du football camerounais fanfaronnait, répétant qu’il avait les politiciens dans la poche. Il est revenu au Cameroun persuadé qu’il pouvait forcer les portes de la sélection en activant quelques ministres. Il a fait le tour des bureaux.

Il a supplié, menacé, négocié. Résultat : humiliation. Plusieurs ministres lui ont renvoyé à la figure la vérité crue : « Tu cours après un ballon. Tu n’es pas l’État. » Un autre l’a refroidi encore plus : appeler le président de la Fecafoot « celui-là » est une honte suffisante pour ne jamais associer son image à lui.

Il est temps que les parasites se taisent. Le nouveau staff a besoin de travailler, loin des intrigues, loin de l’amateurisme, loin de la saleté orchestrée par Mouelle Kombi et son clan de voleurs. L’ère de la prostitution sportive, de l’indiscipline et des protecteurs politiques est terminée.
Place au travail.
Place à la dignité.
Place aux Lions.