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Actualités of Thursday, 3 February 2022

Source: www.camerounweb.com

Confidentiel : Etoudi prépare (encore) une violente humiliation pour Samuel Eto’o

Lors de la 1ère humiliation Lors de la 1ère humiliation

• Paul Biya annonce sa présence au stade ce 06 février

• Ce sera à l’occasion de la finale

• Les indiscrétions font état d’un nouveau plan d’humiliation de Samuel Eto’o en préparation

L'on se souvient encore comme hier de l'humiliation infligée par Étoudi à l'actuel président de la Fédération camerounaise de football. C'était le 9 janvier dernier au stade Paul Biya d Olembé où tout a été mis en œuvre pour éteindre Samuel Eto'o en faveur de Paul Biya qui devrait être là Guest star de la cérémonie d'ouverture. Depuis, les coulisses de ce plan mûrement réfléchi et mis en œuvre ont fuité.

Manifestement un second round d'humiliation est en préparation, selon les indiscrétions.

Déjà Paul Biya a acté présence au stade d Olembé pour la finale qui se jouera dans 72heures. « L’information est rapportée par le porte-parole du gouvernement Emmanuel René Sadi. Le président de la République, Paul Biya assistera à la finale puis à la cérémonie de clôture de la 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations. De nombreux doutes avaient plané sur ce déplacement du chef de l’Etat après le drame survenu lors du match Camaeroun-Comores qui a fait 8 morts et des dizaines de blessés. Paul Biya retournera donc à Olembe après sa première visite le 09 janvier 2021 où il a été longuement ovationné durant la cérémonie d’ouverture de la compétition »

Déjà les réseaux se prépareraient pour jouer une fois de plus un mauvais tour au président de la Fecafoot afin que ce dernier ne vole pas la vedette à Paul Biya.
Le plan va-t-il fonctionner à nouveau ?
L'on attend de voir ce qu'il en sera. Mais ce qui est sûr, les informations ne sont pas bonnes pour Samuel Eto'o.


Humiliation d’Eto’o à Olembé : ‘Jeune Afrique’ confirme le plan ourdi à Etoudi pour sauver Paul Biya


Ce qu’il convient désormais de nommer l’affaire d’humiliation de Samuel Eto’o n’a pas encore livrer toutes ses révélations. Chaque jour, l’on a une idée sur ce qui s’est réellement passé. Et indéniablement, tout porte à croire que tout a été minutieusement réfléchi et concocté depuis le palais d’Etoudi pour ne pas que Samuel Eto’o fasse ombrage au Président de la République Paul Biya. C’est ce que révèle Jeune Afrique dans une récente publication.

« Mais où était donc passé Samuel Eto’o le 9 janvier ? C’est la polémique qui entoure le lancement de la CAN. Récemment élu président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), l’ex-footballeur n’a pas été vu sur les écrans de la télévision nationale, ni sur ceux du stade d’Olembe de Yaoundé lors de la cérémonie et du match d’ouverture qui a opposé le Cameroun au Burkina Faso.Pourtant, Eto’o était bel et bien présent à la tribune présidentielle, non loin de Paul et Chantal Biya, mais aussi d’Azali Assoumani, le président des Comores. Sauf que le triple ballon d’or africain est souvent descendu aux vestiaires pour soutenir les joueurs avant le match et lors de la pause. Les caméras de la CRTV, la télévision nationale, avaient-elles pour consigne de l’éviter ? », s’est demandé Jeune Afrique.

Le confrère a mis exergue le rôle prépondérant du ministre Pierre Ismaël Bidoung Kpatt qui était à la manette. « Il est vrai qu’une partie du système s’est toujours méfiée du phénomène Eto’o. Parmi eux, le ministre de la Culture, Pierre Ismaël Bidoung Kpatt. Maître d’ouvrage de la parade, il a fait acheter 38 000 tickets d’accès, soit près de la moitié des places disponibles, qu’il a généreusement attribués aux militants du parti au pouvoir, le RDPC.Ces caciques du régime ont multiplié les stratagèmes pour s’assurer que la popularité de la star du football ne fasse pas de l’ombre à Paul Biya lors de l’ouverture de cette CAN au coût de 3 000 milliards de F CFA, pensée et mise en scène comme la consécration de ses quatre décennies au pouvoir. Il eut été en effet de très mauvais goût et – hors de question – de permettre au public de scander « Eto’o, président » en présence… du président Biya. D’ailleurs, le premier à l’avoir anticipé, c’est l’ex-footballeur lui-même. D’où son exil dans les vestiaires », précise Jeune Afrique.