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Actualités of Tuesday, 22 February 2022

Source: www.camerounweb.com

‘La précarisation de nos enseignants est un meurtre pour la génération à venir’

Les enseignants décrient leurs conditions de travail depuis des semaines Les enseignants décrient leurs conditions de travail depuis des semaines


• Mamadou Mota demande urgemment au gouvernement de rétablir dans leurs droits tous les enseignants.

• Mamadou Mota est le premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun

• Les enseignants décrient leurs conditions de travail et le fait de ne pas percevoir ce qui leur revient de droit depuis des semaines


Mamadou Mota, premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun demande urgemment au gouvernement de rétablir dans leurs droits tous les enseignants.

Les enseignants décrient leurs conditions de travail et le fait de ne pas percevoir ce qui leur revient de droit depuis des semaines. Ils ont pour cela annoncé un mouvement de grève qui doit se tenir sur toute l’étendue du territoire.

Mamadou Mota, le premier vice-président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) a décidé de porter cet autre combat à côté de celui de la libération des prisonniers politiques qu’il porte avec son parti politique. Apportant son soutien aux enseignants, il affirme que ces derniers sont non seulement pas écoutés, au pire ils sont même méprisés par un régime glouton et incompétent. Il demande au gouvernement de rétablir les enseignants dans leur droit au plus vite.

Lisez ci-dessous sa tribune

Il faut les écouter. Tous les enseignants roulent à moto, chaque année beaucoup meurent d’accident de moto ou sont mutilés à vie.
Ils réclament leur argent, ils méritent un peu d’écoute et de dignité.
Le régime envoie ses préfets et les policiers prendre les noms. les délégués départementaux veulent intimider. Les autres veulent nier.
A quoi à servi l’école à cette oligarchie ?
La précarisation de nos enseignants est un meurtre pour la génération à venir, les rétablir dans leurs droits sans délais est plus une exigence qu’une faveur.
La grève est un droit constitutionnel