‘Je n’avais aucun droit et aucun pouvoir’: Francis Ngannou révèle comment il était traité par l’UFC

L’information n’est pas passée inaperçue. Francis Ngannou a claqué la porte à l’UFC. Le camerounais n’est plus sous contrat avec l’organisation américaine d’arts martiaux mixtes il y a quelques jours de cela.

L’on ne connaissait pas la vraie raison de ce divorce. Mais, ce 18 janvier 2023, des informations quant à son départ de l’UFC ont éclatées.

Le combattant de 36 ans aurait posé certaines exigences sur la table pour pouvoir signer son nouveau contrat. Mais celle-ci ont été rejetées par son ex employeur Dana White.

Alors qu’on lui a offert 8 millions de dollars pour un contrat de trois (03) combats avec une potentielle prolongation de son passage dans les cages, « Francis Ngannou, lui, voulait trois combats dont deux face à Jon Jones et un autre pour en finir de sa trilogie avec Stipe Miosic. Au-delà de son planning à l’UFC, le camerounais a demandé des améliorations pour tous les combattants en demandant à avoir des sponsors personnels, une assurance vie et un avocat pour les représenter lors de tous les meetings avec l’organisation. Face au refus de Dana White et des dirigeants, le natif de Batié a choisi de s’en aller », a expliqué rmcsport.bfm.com selon les propos de Francis Ngannou.

Dans le talk-show « The MMA Hour » du journaliste canadien Ariel Helwani Francis Ngannou a par ailleurs révélé qu’il n’avait pas assez d’avantage dans son ancien contrat « Je n’avais aucun droit, je n’avais aucun pouvoir », a-t-il précisé.

Il a donc voulu faire changer les choses. « Je suis très heureux, je sais que j’ai tout fait correctement. Je n’ai aucun regret. Si c’était à refaire, je referai la même chose », a expliqué le camerounais.

En ce qui concerne son avenir, une rumeur selon laquelle le champion de poids lourd de MMA rejoindra la boxe anglaise a tourné. Mais, elle était bien fausse. « Je n’ai encore discuté avec aucune organisation. J’ai juste besoin de respect, d’un peu plus de respect. J’ai besoin de dignité et de liberté. Je veux contrôler ma destinée », a éclairci le camerounais.