« Olivier Fonou dit "Sop" est un homme que je connais, car il était membre d'une réunion dont j'étais le trésorier », lit-on sur la page Facebook de Thierry Pat qui ne s'arrête pas là.

Je suis à la fois surpris et abasourdi par cette nouvelle. Au départ, je n'ai pas voulu aborder le sujet, mais j'ai pensé à l'adage très populaire qui dit "qui ne dit mot consent". Selon ce que Olivier a l'habitude de raconter, il a connu son épouse dans sa jeunesse au Cameroun.

Chacun a ensuite fait son chemin séparément jusqu'au jour où le destin les a réunis en France. Lisiane, dans son parcours, a d'abord eu une jolie petite fille qu'elle a laissée au Cameroun et une autre en France avant de retomber sur son amour de jeunesse qui a trouvé les mots pour la convaincre de devenir sa femme.

Quelques années plus tard, le couple donna naissance à trois autres enfants (garçons). Pour prouver qu'il est un bon papa, Olivier adopte les deux enfants de sa dulcinée nés avant le mariage.

Les années passent et Lisiane ne supportant pas la distance avec le fruit de ses entrailles qui est restée au Cameroun, le couple décide de faire venir la petite fille en France afin qu'elle puisse vivre auprès de ses frères et sœurs. Le calvaire de l'enfant commence dès qu'elle met les pieds en France à l'âge de 10 ans. Son papa la viole chaque fois que l'occasion se présente et lui disant de se taire.

L'enfant garde le silence pendant deux ans, jusqu'à ce jour fatidique où ses copines d'école lui demandent si elle a déjà goûté le fruit défendu. La petite répond « oui je le fais avec mon père ». Ses camarades d'école interloquées lui conseillent d'en parler à sa maman sinon elles le feront elles-mêmes. C'était mercredi dernier. Ils donnaient la pilule du lendemain à l'enfant tous jours et l'obligeait à avaler son sp3rme.

Jeudi après les cours, la petite fille appelle sa maman et lui dit en pleurant « maman je vais te parler ». Elle lui explique que papa la viole depuis qu'elle est arrivée en France et il lui a dit de ne le dire à personne. Elle renchérit que la veille, quand papa l'a envoyée (maman) pour aller faire les courses, il est resté faire encore.

Au retour du père, il nie les faits et la maman décide d'appeler la police et jure qu'elle va le t*er. Au téléphone, la police conseille au papa de quitter la maison afin qu'un crime n'ait pas lieu. Il va se réfugier chez une amie à lui, arguant qu'il veut être en sécurité, qu'il est accusé à tort d'un crime qu'il n'a pas commis et compte prouver son innocence.

Le lendemain sa femme conduit sa progéniture chez le médecin et c'est là où après les examens, on découvre que l'enfant de 12 ans a le Jessica plus ouvert que celui d'une femme adulte. L'amie qui le logeait n'a eu d'autre choix que d'alerter la police qui viendra le cueillir à son domicile.