Dans un audio explosif que Kamerfoot s’apprête à publier, Marc Brys, sélectionneur des Lions Indomptables, lance une accusation sans détour contre Narcisse Mouelle Kombi, ministre des Sports : « Voleur ! ». Une déclaration fracassante, mais qui résonne comme un écho des rumeurs persistantes sur la gestion opaque des finances de l’équipe nationale.
Depuis que Mouelle Kombi a pris les rênes du football camerounais, les scandales s’enchaînent : primes détournées, budgets trafiqués, factures gonflées, frais de mission opaques, et même des ajouts mystérieux dans le staff technique. « La tanière tremble », car Brys ne fait que mettre des mots sur ce que tout le monde murmure : sous ce ministère, l’équipe nationale serait devenue un comptoir où l’argent disparaît, où les intérêts personnels priment sur le drapeau.
LE DOSSIER DE LA REDACTION
“Voleur !” : Marc Brys balance tout sur Mouelle Kombi – la tanière tremble
Dans un audio explosif que nous publierons dans quelques instants, Marc Brys ne mâche pas ses mots : il traite Narcisse Mouelle Kombi de voleur. Un qualificatif brutal, choquant, mais qui soulève une question légitime : et si le sélectionneur avait simplement décrit une réalité que beaucoup murmurent depuis des mois dans les coulisses du football camerounais ?
Car avant même cette sortie fracassante, la gestion financière de l’équipe nationale sous le ministre des Sports est secouée par une série de scandales retentissants. Depuis que l’enseignant de droit s’est arrogé le contrôle total des Lions Indomptables, les révélations se succèdent :
• Primes de présence détournées,
• Budgets trafiqués,
• Factures gonflées,
• Frais de missions opaques,
• Ajouts clandestins dans le staff,
• Voyages et dépenses injustifiées,
• Et une administration de plus en plus décrite comme un réseau où chacun vient “se servir” avant de penser à l’équipe.
Pendant plus d’un an, les joueurs, les encadreurs, les supporters et même certains hauts responsables du football ont dénoncé une gestion calamiteuse marquée par le favoritisme, le mépris des procédures, les manœuvres occultes et les décisions unilatérales qui affaiblissent la sélection nationale.
Alors, lorsque Marc Brys prononce ce mot — voleur — il n’est plus seul dans l’arène.
Il fait écho à un sentiment général, presque devenu un consensus populaire : la tanière est devenue un comptoir, un espace où l’argent circule, disparaît, et où les intérêts personnels priment sur le drapeau.
Et la question qui fâche reste entière :
Marc Brys exagère-t-il vraiment ? Ou met-il simplement des mots crus sur une réalité pourtant bien documentée ?
La suite dans quelques instants…
Kamerfoot va tout dévoiler.









