7000 m² de terre camerounaise cédés à la Turquie. Ce n'est pas un simple chiffre, c'est la mesure concrète d'une démission.
Sinon, comment comprendre qu'une parcelle de notre souveraineté est bradée, offerte, sans vague, sans débat national.
Pendant ce temps, le silence est assourdissant. Où sont les prétendus gardiens de la vérité ? Les "journalistes" auto-proclamés, les parvenus aux poches vides d'idéaux, les aplaventristes qui nous rabattent les oreilles avec l'ambassade de France à Yaoundé ?
Le Prix du silence est la contrefaçon
Ils se taisent face à cette affaire de 7000 m² octroyés à la Turquie. Non par ignorance, mais par une lâcheté calculée. La peur d'être blacklistés par l'acheteur, ce pays qui leur vend, non seulement des terres, mais aussi l'illusion de la richesse : leurs contrefaçons de grandes marques françaises.
Ils ne sont que des contrefaçons humaines : des êtres creux, sans valeur intrinsèque, des lèche-bottes dont l'existence même est une copie de seconde zone.
Leur silence a un prix lourd : il est maculé de la sueur et du sang des citoyens qu'ils devraient informer et défendre.
Un véritable journaliste, un patriote, ne s'achète pas avec une babiole importée. Il n'a pas peur d'une liste noire s'il est du côté de la vérité et de l'intérêt national.









