Actualités of Sunday, 19 October 2025

Source: www.camerounweb.com

Sextape: une vidéo de Brenda Biya et de sa copine en pleine action fuite sur Instagram

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De retour au Cameroun après leur séjour à l’hôtel Intercontinental de Genève, Paul et Chantal Biya se retrouvent au cœur d’une tempête médiatique déclenchée par leur propre fille. Brenda Biya, fille unique du président camerounais, a publié une vidéo virale dans laquelle elle dénonce avec émotion la « cruauté » de son père et de son entourage, accusant même Samuel Mvondo Ayolo, directeur du Cabinet civil de la présidence, de lui avoir souhaité une mort par overdose.



« Il a fait souffrir beaucoup de gens, y compris les membres de sa famille », déclare Brenda Biya, les larmes aux yeux, depuis sa chambre d’hôtel à Genève. Alors que le Cameroun se prépare pour l’élection présidentielle du 12 octobre 2025, elle appelle publiquement les électeurs à rejeter la candidature de son père : « Je ne voterai pas pour Paul Biya, et je vous demande de ne pas voter pour lui non plus. » Une prise de position qui résonne comme un coup de tonnerre


LA VIDEO ICI


Quelques heures après cette déclaration, une vidéo à caractère intime, montrant deux femmes aux visages floutés, circule sur Instagram. Bien que l’identité des personnes filmées ne soit pas confirmée, de nombreux internautes évoquent la possibilité qu’il s’agisse de Brenda Biya et de sa compagne. Cette révélation, si elle était avérée, ajouterait une dimension scandaleuse à une crise familiale déjà explosive.



Les propos de Brenda Biya ont suscité une vague de réactions sur les réseaux sociaux. L’influenceur N’Zui Manto résume l’émotion générale : « Depuis sa chambre de luxe à Genève, Brenda Biya accuse son père de vouloir sa mort et appelle à voter contre lui. Le 12 octobre, le Cameroun choisira-t-il la rupture ou la continuité ? » La présidence camerounaise, pour l’instant, n’a pas réagi officiellement à ces accusations.



Alors que le pays s’apprête à voter, cette affaire familiale met en lumière les fractures au sein du régime Biya, au pouvoir depuis 1982. Entre révélations intimes, accusations de harcèlement et appels au changement, Brenda Biya, volontairement ou non, incarne une contestation inédite contre l’establishment politique camerounais.