Dans l'entourage de Maurice Kamto, son conseiller spécial, Albert Dzogang semble particulièrement être le plus visé.
"Si quelqu'un frappe à votre porte pour demander quelques fruits de votre jardin, alors qu'au même instant il a déjà dépêché une équipe pour se servir dans vos arbres, cet homme n'est rien d'autre qu'un malhonnête", a écrit monsieur Dzongang sur la toile.
Partisans du "Kamto ou rien", ces irréductibles invitent secrètement les électeurs à ne pas être aux urnes le 12 octobre prochain , ou à défaut, de rallier le camp de Bello Bouba Maïgari.
Pour un observateur averti du landerneau politique :" Le refus pour Kamto de donner une consigne de vote est la preuve irréfutable que le sort des millions de camerounais qui vivent le martyre et qui sont dans la désespérance absolue ne l'intéresse pas. Il ne roule que pour lui-même et pour le pouvoir. Figurez vous que au Sénégal, Ousmane Sonko aurait pu faire la même chose.
"Si, je ne suis pas candidat, personne ne le sera", mais il a préféré passer le relais à Bassirou Diomaye Faye. Tchiroma a pourtant multiplié les actes de bonne foi, il l'a même physiquement assisté au conseil constitutionnel pendant que Bello dormait tranquillement à son domicile. Kamto croit qu'il est le troisième président du cameroun ou ça ou rien.
Alors qu'il se met le doigt dans l'œil. Après l'élection du 12 octobre prochain, il perdra définitivement son aura d'antan, je commence à croire comme quelques uns qu'il est trop narcissique et pas qualifié pour le job de Chef d'État. Il a définitivement raté une occasion en or d'entrer dans l'histoire qui s'écrira désormais sans lui"