Si c'était un ministre qui refusait d'appliquer les directives du gouvernement camerounais comme on le voit avec l'affaire MINSEP - FECAFOOT, la population devrait inonder la toile avec des messages des va en guerre.

Mais comme c'est l'enfant chéri du " désordre bénéficiant à un groupe de cacique" , on cherche la plume en soi pour caresser sa joue.

Imaginons un maire qui refuse d'appliquer les directives du ministre de l'habitat pour le bien de tous.

Imaginez le chef d'Eneo qui refuse d'appliquer les directives régaliennes de ministre de l'eau et de l'énergie.

Imaginez un chef de la commune urbaine ou rurale qui refuse d'appliquer les directives du ministre des travaux publics.

Imaginons enfin un SGPR qui refuse d'appliquer les directives du chef de l'État sous des prétextes " fantaisistes et fanatiques…"

L'image que nous sert la Fecafoot devrait interpeller la communauté nationale sur la moralité nationale et publique, sur celui qui décide de diriger les hommes et les institutions Camerounaises.

Au nom de quelle "puissance obscur nationale" vous pouvez protéger une association qui décide de ne pas appliquer les directives de son supérieur ?

Vous lirez sur la toile des personnes qui n'arrivent pas à tousser devant les directives de leurs hiérarchies, déballer des arguments rebelles et des hypothèses fantômes juste pour satisfaire l'émotion personnelle qui n'ont rien a voir avec l'intérêt national et même institutionnel.

Réunir tout une présidence de la république pour une affaire de " Sac d'air" est tout simplement "Mexicain". Au moment où la présidence est sollicitée pour la santé, l'énergie, les travaux publics, la vie chère…