Actualités of Wednesday, 20 August 2025

Source: www.camerounweb.com

L'heure est grave: Jeune Afrique dévoile en exclusivité le bulletin de santé de Pau Biya à 2 mois de la Présidentielle, traitements lourds

Paul Biya Paul Biya

Les révélations de Jeune Afrique sur les "traitements lourds à l'étranger" qui exposent l'État aux pressions extérieures.

Une enquête exclusive de Jeune Afrique lève le voile sur une problématique inédite : comment la dépendance médicale d'un chef d'État peut compromettre la souveraineté nationale. Des révélations qui questionnent les limites entre santé privée et sécurité d'État.


Les révélations exclusives de Jeune Afrique mettent en lumière une réalité géopolitique troublante : les "soins médicaux à l'étranger, notamment en Suisse" seraient devenus une constante dans l'agenda présidentiel. Cette dépendance sanitaire externe, selon les documents consultés par Jeune Afrique, transformerait de facto la Confédération helvétique en un centre de décision indirect du pouvoir camerounais.

L'enquête du média panafricain révèle que ces séjours médicaux répétés créent une situation inédite dans l'histoire institutionnelle du pays : un chef d'État dont l'état de santé dépend d'infrastructures et de praticiens étrangers. Une vulnérabilité stratégique majeure selon les analyses révélées par Jeune Afrique.
"Traitements lourds" : quand la médecine dicte la politique
Les informations exclusives obtenues par Jeune Afrique décrivent un dirigeant "sous traitement lourd à l'étranger", une formulation qui suggère une dépendance médicale structurelle. Cette situation, selon les révélations du média, pose une question fondamentale : comment un État peut-il garantir sa continuité institutionnelle quand son dirigeant dépend de soins dispensés hors de ses frontières ?

L'enquête de Jeune Afrique révèle que cette dépendance thérapeutique aurait des implications directes sur la gouvernance quotidienne. Les absences prolongées pour raisons médicales, documentées par le média, perturbent le rythme institutionnel et créent des zones d'ombre dans l'exercice du pouvoir exécutif.
Les "pressions extérieures" : un risque géostratégique majeur
Selon les révélations exclusives de Jeune Afrique, cette dépendance médicale expose le chef de l'État à d'éventuelles "pressions extérieures". Le média soulève ainsi une question cruciale : dans quelle mesure un dirigeant dont la survie dépend de soins étrangers peut-il maintenir son indépendance décisionnelle ?

Cette vulnérabilité, mise en évidence par l'enquête de Jeune Afrique, crée un précédent dangereux dans les relations internationales. Les pays d'accueil médical acquièrent de facto un pouvoir d'influence considérable sur les décisions souveraines, une situation que le média qualifie de "danger pour la souveraineté du pays".

Les révélations de Jeune Afrique éclairent d'un jour nouveau l'article 118 du code électoral camerounais, qui rend "inéligibles les personnes qui se sont placées dans une situation de dépendance vis-à-vis d'une puissance étrangère". Cette disposition légale, selon l'analyse du média, pourrait s'appliquer aux situations de dépendance médicale externe.

L'enquête de Jeune Afrique révèle que cette interprétation juridique ouvre une voie procédurale inédite. La dépendance sanitaire pourrait ainsi être requalifiée en dépendance politique, créant un précédent jurisprudentiel majeur dans le droit constitutionnel africain.

Les informations exclusives de Jeune Afrique documentent des épisodes troublants, notamment lors du sommet États-Unis-Afrique en 2022, où le dirigeant aurait "parfois paru désorienté en public". Ces manifestations publiques de fragilité, révélées par le média, soulèvent des questions sur l'aptitude à exercer les hautes fonctions de l'État.

L'enquête de Jeune Afrique révèle que ces épisodes ne sont pas isolés mais s'inscrivent dans un pattern de difficultés cognitives qui affectent l'exercice présidentiel. Une réalité médicale qui, selon les révélations du média, aurait des conséquences politiques majeures.

Les révélations exclusives de Jeune Afrique mettent en lumière le rôle grandissant de "surveillance" exercé par l'entourage présidentiel, notamment la première dame Chantal Biya. Cette supervision constante, selon les informations du média, témoigne d'une perte d'autonomie décisionnelle qui affecte l'exercice normal du pouvoir exécutif.


L'enquête de Jeune Afrique révèle que cette "surveillance" dépasse le cadre familial pour devenir un élément structurant de la gouvernance. Un président "qui ne peut pas décider seul de s'asseoir ou de se lever lors d'un discours officiel", selon les termes révélés par le média, pose la question de sa capacité à exercer la magistrature suprême.

Ces révélations exclusives de Jeune Afrique interrogent plus largement le modèle institutionnel africain face aux défis du vieillissement des dirigeants. Comment les constitutions du continent peuvent-elles intégrer les problématiques de santé des chefs d'État sans porter atteinte à leur dignité ?


L'enquête du média panafricain ouvre ainsi un débat crucial : faut-il repenser les critères d'éligibilité présidentielle pour intégrer les questions de dépendance médicale ? Une réflexion d'autant plus nécessaire que le continent compte plusieurs dirigeants âgés dans des situations similaires.
Vers une jurisprudence "santé et souveraineté" ?

Les révélations de Jeune Afrique pourraient créer un précédent juridique majeur si la requête déposée devant le Conseil constitutionnel aboutissait. Cette procédure, documentée par le média, établirait pour la première fois un lien direct entre état de santé présidentiel et sécurité nationale.
Un enjeu qui dépasse largement les frontières camerounaises et pourrait influencer la jurisprudence constitutionnelle de plusieurs pays africains confrontés à des problématiques similaires, selon l'analyse prospective de Jeune Afrique.