Dans un paysage politique camerounais en ébullition, Cabral Libii émerge comme une figure controversée mais déterminée, incarnant l'espoir d'une aube nouvelle pour beaucoup. Face à la montée d'un mouvement hostile baptisé "Tout sauf Cabral", l'homme politique se distingue par sa résilience et son intégrité. Alors que certains s'acharnent à vouloir le faire taire, Libii, leader du Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), reste droit dans ses convictions, proposant une vision de fédéralisme communautaire et de rupture avec les pratiques du passé. Dans ce contexte tumultueux, il tend la main pour un changement réel, se positionnant comme un phare d'espoir pour ceux qui aspirent à une transformation profonde et durable du Cameroun.



Cabral Libii OU L'HOMME QUI PORTE L'AUBE MAIS QU'ON VEUT FAIRE TAIRE

Dans ma patrouille sur Facebook, je n'ai pas pu m'empêcher de constater, éberlué, la montée en puissance du mouvement chimérique : TOUT SAUF CABRAL. Autant les motivations réelles de cette infamie sont floues, autant on peut s'étonner de la présence loufoque des certaines personnalités qu'on croyait respectables et soucieux du changement dans cette bulle ténébreuse. C'est à se demander QU'EST-CE-QUI N'A PAS MARCHÉ ?

DES ASSAUTS GROUPÉS ET RÉPÉTÉS

Il est difficile aujourd'hui de dire avec objectivité et précision ce que Cabral Libii, ce leader politique de la nouvelle génération leur a fait. Mais force est de constater qu'ils lui lancent des flèches, des mots acides, des malédictions politiques comme on jette des pierres dans le vent. Ils ont lancé une fatwa contre lui. Ils veulent faire tomber un homme qui n’a jamais tenu les rênes du chaos. Il n’est ni le sculpteur de leur ruine, ni le gardien des ruines de l’État. Il est l’arbre resté droit quand la forêt s’est couchée sous les tempêtes. Il n'a jamais été mêlé ni de près ni de loin à leur démêlé avec leurs pourfendeurs, qui par ailleurs a à tout fait pour l'anéantir sans succès. Mais visiblement, Cabral doit être l'agneau sacrificiel, il ne doit pas lever la tête. Il doit même "mourir", d'où les assauts coordonnés et répétés sans répit.

C'EST QUOI SON PÉCHÉ ?

Cabral n’a pas dansé avec les vents du pouvoir. Il n'a jamais bénéficié d'un décret, d'un quelconque avantage. Il a bâti son chemin, pierre après pierre, avec constance et cohérence, avec fermeté et patience dans son "INDIGENCE" autrement mosquée. Tandis que d’autres changeaient de peau à chaque saison, lui, il gardait la sienne, intacte, fidèle à ses convictions. Son parti est une maison solide qu'on a essayé de déchirer, de saccager, de faire couler. Il a tenu fort, droit et debout. Il a refusé de courber l'échine, de faire de son PCRN, un abri de fortune. Si c'est cela son péché, alors, on a plus de problème qu'on le croit.

POURQUOI VOULOIR L'ÉTEINDRE ?

Et parce qu’il incarne aujourd’hui l’aube que le peuple espère, les ténèbres s’agitent. Ceux qui ont perdu leur étoile veulent éteindre la sienne, ceux qui l'ont jamais eue également. Simple jalousie ou un problème qui n'a pas livré tous ses secrets ? L'avenir nous dira! Mais on ne fait pas taire la lumière avec des cris. On ne chasse pas l’espoir avec des rancunes. Encore que le pouvoir de l'homme est infiniment petit. C'est Dieu qui a le dernier mot. Et IL Y A FIEU DEDANS !

ET LUI DANS TOUTE CETTE AGITATION PUÉRILE ?

Cabral est celui qui tend la main quand d’autres brandissent le poing. Il a tendu la main hier lors de son discours accessible sur sa page, comme il l'a fait depuis 2018. Il parle de fédéralisme communautaire, de rupture, du progrès, de dignité, de justice. Il ne promet pas des mirages, mais une marche vers le réel. Il est le souffle que le peuple attend, le feu qui ne brûle pas mais éclaire. Il a accepté d'être comme une bougie, qui se consume pour éclairer le monde. C'est pourquoi il encaisse toutes menaces et injures avec stoïcisme et tend la main à tous ceux qui veulent œuvrer pour un réel changement, afin d'envoyer à la retraite tous ces grabataires qui ont pris en otage le Cameroun depuis l'aube des indépendances.

MON CONSEIL

Alors oui, il doit être soutenu. Non par aveuglement, mais par lucidité. Car dans ce tumulte, il est le seul à marcher sans masque, sans haine, sans peur. Et c’est avec lui que peut naître le jour. Il a un projet de société bien connu de tous, CE QUE J'AI VU, un méthode, LA RUPTURE, un slogan, RÉUSSIR ENSEMBLE.

Alors taisons nos divergences et travaillons ensemble pour l'intérêt supérieur du peuple camerounais. Aujourd'hui plus que jamais, l'alternance est palpable, possible, accessible, réalisable.

Mohamadou Mouctarou, cabraliste de luxe, porte-parole du PCRN, artisan de l'alternance démocratique.