Parmi les membres du Conseil constitutionnel qui a rejeté la candidature de Maurice Kamto, il y avait un certain Lekene Donfack, un fils bamiléké de la Menoua.
Ce magistrat a tout comme les autres, refusé de dire le Droit. Même son appartenance à la tribu Bamiléké n'a rien changé sur sa position.
Benjamin Zebaze le charge dans une publication sur les réseaux sociaux.
"Quand il faut réaliser des choses sales, il faut toujours qu'un ressortissant de la Menoua soit présent. Voilà tout un professeur de droit, enseignant réputé, qui participe à cette mascarade au Conseil Constitutionnel hier où on a appliqué tout sauf le droit. Oui, il a été placé au Conseil Constitutionnel en connaissance de cause puisque son passage au sein du gouvernement avait laissé de choses suspectes en "escadrilles": mais tout de même. LEKENE DONFACK aujourd'hui, comme Goufack hier et l'autre là sont des hontes pour la Menoua. Je comprends mieux pourquoi le semillant Professeur Agrégé des Universités Françaises ROGER GABRIEL NLEP qualifiait, avec mépris, des gens comme LEKENE DONFACK d'agrégé de Cotonou, même s'il avait été Agrégé en Europe: ce qui n'est d'ailleurs pas sûr", a écrit Benjamin Zebaze.
"Bien sûr que la plupart de ces Agrégés ou assimilés ont du talent et un corpus idéologique solide: mais celui ci, POUAH ! J'en ai la nausée. Heureusement qu'il a désormais une bonne place dans la poubelle de l'histoire. C'est quelqu'un, selon moi, qu'on doit huer au cours de toutes les manifestations dans la Menoua: j'espère qu'il n'osera plus y montrer sa tronche. Se comporter ainsi dans le département qui a vu naître le NATIONALISTE Abel Kingue?", ajoute-t-il.