Alors qu'on pensait que le petiot clash entre le journaliste Georges Dougueli, et l'enseignant Moussa Njoya est terminé, le correspondant de Jeune Afrique au Cameroun revient dans la messagerie de son interlocuteur pour l'insulter copieusement.
Pauvre con, petit merdeux, idiot… sont quelques mots utilisés par le journaliste qui descend trop bas et verse dans l'invective.
Moussa Njoya qui lui répond, a décidé de le chasser de sa classe:
" J’ai décidé de chasser Doux-Guélit de ma salle de classe!
Quelques heures après m’avoir insulté et bloqué, j’ai été surpris de voir DougSaga de Paris réapparaitre dans ma messagerie et sur mon mûr. Il se trouve qu’après s’être enfui, comme tout bon délinquant qui aime fuguer après avoir commis quelque larcin, Doux-Guélit a très vite réalisé tout ce qu’il perdait en n’ayant plus accès à cette page. Si vous ne le savez pas, être ici est aussi vital pour DougSaga que l’air qu’il respire !
En effet, Doux-Guélit a besoin d’être ici pour pouvoir se nourrir. Lui dont les articles dans le canard françAfricain qui l’emploie sont devenus aussi rares que la pluie au désert du Sahara, n’a pratiquement plus rien d’autre à proposer à ses commanditaires (qui se raréfient tout autant) en dehors des lacérations qu’il reçoit lors corrections quotidiennes qui lui infligées çà et là. Car, en dehors de la jouissance que la souffrance lui procure, DougSaga a plus que jamais besoin d’être frappé pour gagner sa pitance. « Patron, regardez comment Moussa Njoya m’a encore frappé ! Voyez comment je souffre pour vous ! » tel est désormais le credo de notre Doux-Guelit lorsqu’il va tendre son bol pour recevoir sa tambouille.
C’est pour cela que désormais, il se livre à la provocation tous azimuts, racontant des balivernes en fréquence chapelet, tout en ciblant des personnes ou des groupes dont il est assuré de la réaction punitive. En cela, DougSaga est comme Silas, le moine blond de « Da Vinci Code », qui passe le clair de son temps à perpétrer des actes les plus odieux dans le seul but de plaire à un groupuscule occulte avide de pouvoir, et qui une fois revenu le soir dans sa lugubre chambre, se livre à l’autoflagellation, histoire de donner des signes visibles de sa fidélité à ses maitres, à travers les cicatrices laissées sur sa peau !
Ensuite, Doux-Guélit a besoin d’être sur cette page pour pouvoir recevoir un minimum d’éducation de base, pour apprendre a minima comment échanger avec des gens civilisés sans insulter, sans verser dans l’outrance et l’outrage.
Enfin, DougSaga en s’enfuyant hier s’est surtout rendu compte qu’il a besoin d’être ici, sur cette page, véritable salle de classe numérique, pour être instruit et se cultiver. Tellement, l’inculture, malgré ses jeux de mots dictés, transpire à chacune de ses publications.
Si vous en doutez, je vous propose de relire avec un peu plus d’attention ses anciennes publications dans son canard parisien, vous serez surpris par la quantité d’approximations et surtout de contrevérités qui y sont contenues à chaque fois, et qui portent pourtant sur des sujets basiques.
À titre personnel, c’est en 2017 que j’ai réalisé tout l’abysse de son ignorance, lorsqu’au parfait hasard, je lisais un de ses articles dans lequel notre « journaleux » écrivait de manière péremptoire que « la loi NE PERMET PAS de candidature indépendante à l’élection présidentielle au Cameroun ». Je lui faisais alors amicalement emarquer que la loi électorale le permettait bel et bien, bien que les conditions soient draconiennes. À cette occasion de cet échange, je constatai, avec stupéfaction, que DougSaga n’avait jamais lu ni le Code électoral encore moins la constitution du Cameroun, dont il parlait pourtant. Et c’est depuis ce jour là que j’ai réalisé qu’en fait, toute sa condescendance ne vise rien d’autre qu’à cacher toute son ignorance ! D’où sa violence dès qu’il est démasqué, à l’instar de ce petit « pick-pocket » du marché Mokolo pris sur le fait !
Malgré cela, j’avais décidé de l’aider à remplir quelque peu le vide sidéral du vase qu’il a au-dessus des épaules. Mais, en bon chenapan qu’il est, au lieu de revenir calmement voire de faire amende honorable, après avoir insulté son maitre, que je suis, et déserté la salle de classe, qu’est cette page, DougSaga, comme vous pouvez le constater, a plutôt choisi de persévérer dans la délinquance et la pétulance.
Alors, bien qu’à mon corps défendant, l’éducateur que je suis se sent obligé de le chasser de cette page, qui est ma salle de cours numérique.
Donc, DougSaga, Ouste ! Dehors ! Fuera !!!"