« Vous voyez que je me trompe rarement sur les gens. Toujours faire confiance à son instinct », écrit Jorel Jaques Zang. Il parle de Samuel Eto’o dont il avait dit qu’il est allé à la Fecafoot pour se refaire une santé financière.

Samuel Eto’o n'en a absolument rien à givrer du football camerounais et d'ailleurs depuis son arrivée à Tsinga, le football camerounais ne s'est jamais autant mal porté. Ce qui intéresse cet homme, c'est de se remplir les poches pour continuer à entretenir son train de vie. Pourquoi pensez-vous que lui et son ministre sont toujours en querelle ?

Eh bien tout, mais alors absolument tout se résume au contrôle de l'argent public que verse le trésor à la fédération. Tout ce désordre que vous voyez dans le football camerounais et qui se répercute sur les joueurs, c'est simplement parce lui et son ministre se disputent le contrôle de cet argent public. Sinon lui comme son ministre n'ont que faire du football qui d'ailleurs n'est qu'un instrument du pouvoir pour davantage distraire la population des vrais enjeux sociopolitiques.

Le pouvoir étant parfaitement au courant de la réelle situation financière de Samuel Eto’o, lui a offert la gestion de la Fecafoot qui lui sert à siphonner sa part dans l'argent public. Voilà pourquoi il fait absolument tout pour écarter tout potentiel candidat sérieux face à lui comme Geremi Njitap, car il sait que face à lui, il a peu de chance. Donc, il copie Paul Biya en éliminant politiquement ses adversaires pour se maintenir à Tsinga et continuer à bien manger l'argent public.

La raison principale pour laquelle il soutient et soutiendra toujours le pouvoir en place, car il doit sa place à Tsinga et au palais via Oswald Baboke et la première dame Chantal Biya.

Voilà pourquoi à chaque fois qu'il en a l'occasion, il invite la première dame pour lui faire les éloges sur sa belle perruque, son beau rouge à lèvres, son magnifique sourire, etc.