L'info tourne en mode virale sur les réseaux sociaux. Normal! puisqu'on parle de sexe tape qui impliquerait un homme politique candidat à la présidentielle de 2025 et grand ami de Me Alice Nkom.

Evitons de citer nommément des gens, même si dans notre contexte, les allusions sont faits sans ambages à la l'homosexuel Shakiro connu dont le vrai nom est Loïc Midrel Jeukam et à Maurice Kamto.

Dans une publication, le journaliste Paul Daizy Biya affirme que Shakiro qu'il présente comme "la fille de Me Alice".

"La fille d'Alice Nkom qu'elle présente aux hommes politiques fait fuiter ses vidéos d'avec un monsieur. Ils sont pratiquement fous, tous les deux", écrit le journaliste.

On se rappelle que le même journaliste avait insinuer dans une publication, quelques semaines plus tôt, une relation très intime avec l'homme politique Maurice Kamto.

"Shakiro est une personne controversée qui n’a jamais hésitée à coller des étiquettes, parfois diffamatoires, à de nombreux Camerounais. Ceux-là mêmes qui, aujourd’hui, crient à un complot, étaient les premiers à l’ériger en icône. Une hypocrisie collective qui revient en boomerang. Si c'était concernant un autre leader politique que Shakiro faisait cet aveu, la meute serait au 7ė ciel.
Ce qui choque davantage, c’est l’implication d’Alice Nkom qui aurait présenté Loiic Midrel Jeukam à Maurice Kamto. Loïc, un homme, Mais, lors de cette rencontre cruciale, il aurait été introduit au leader du MRC comme une « fille » . Cette présentation délibérément mensongère pose un problème. Voilà que plusieurs années plus tard, Loïc lui-même, de façon candide, rompt le silence et déclare : « Arrêtons l’hypocrisie. Lors de ma rencontre avec Maurice Kamto, le professeur m’a fait une confidence et une promesse : il approuvait notre mode de vie et s’engageait à dépénaliser l’homosexualité une fois au pouvoir».
Cette affaire expose la duplicité de ceux qui prétendent défendre des causes tout en manipulant des identités pour servir des intérêts.
Comment on a présenté un homme à un homme politique en disant que c'était une fille, et curieusement les promesses d'ordre homosexuel auraient été faites à la fille/homme", avait écrit Paul Daizy.