Un homme commet l’acte de violence le plus combattu actuellement dans la société, compte tenu de sa fréquence. Il a ôté la vie à sa partenaire. Grosse colère chez la famille et vives inquiétudes provoquées par la situation.
Violence conjugale, une autre Camerounaise est morte à cause de son amoureux. Celui-ci l’a battue à mort alors qu’ils ont des enfants en commun.
En effet, Jacqueline Essimbi a succombé il y a quelques jours aux coups du père de ses enfants Bertrand Essomba, inspecteur de police principal, nous signale Paul Chouta.
Le lanceur d’alerte précise que dans un voice envoyé à un membre de sa famille, la victime raconte ce qui suit à voix grelottante : « Je suis au courant de ce qui se passe dans la famille, mais je ne peux rien faire. Je suis couchée, sans force. Le père de mes enfants m’a battue à mort. Il sautait sur mon cœur, il bottait mes côtes. J’ai une côte cassée. La côte gauche. J’ai fait plusieurs radios. J’ai tellement mal. Il faut aussi qu’on me masse".
Dans une autre conversation que la défunte a eue avec un autre membre de sa famille, elle signale qu’elle est « en train de mourir. Ton type est venu me taper à mort. Je souffre. Prie pour moi ».
Selon des témoins, ce n’était pas la première fois que Bertrand Essomba frappait la mère de ses enfants. « En plus des violences physiques, Essomba avait aussi signé une fausse procuration pour toucher le salaire de la défunte », dévoile Chouta.