Révélations troublantes sur la lutte de pouvoir entre Mvondo Ayolo et Motaze pour libérer Amougou Belinga, assassin présumé du journaliste Martinez Zogo. Une guerre de tranchées qui éclabousse le pouvoir et révèle les dessous sordides d'un triangle dangereux où corruption, manipulation et ambitions présidentielles se mêlent dans un pacte mortel. Comment deux hauts commis de l'État sont prêts à sacrifier la justice sur l'autel de leurs intérêts personnels. Plongée dans les coulisses d'un thriller politique qui ébranle la République jusqu'à ses fondations.


Sérail : Deux prétendants, un amant

C'est un feuilleton digne d'un film nollywodien, le spectacle ubuesque que projettent depuis quelque temps deux baleines du régime Biya et par ailleurs élites d'un même département.

Samuel Mvondo Ayolo Directeur du Cabinet Civil du président de la République (DCC) et Louis Paul Motaze ministre des Finances (Minfi), affidés de l'homme d'affaires Jean Pierre Amougou Belinga, écroué à la prison de Kondengui dans l'affaire du meurtre du journaliste Martinez Zogo.
Ça ne fait aucun doute dans la région du Sud ;la guerre de tranchées que se livrent ces deux élites du Dja et-Lobo pour leurs ambitions de leadership dans cette région et de dauphinat du président de la République. Curieusement, leurs intérêts convergent depuis peu vers un même objectif à savoir, la libération de Jean Pierre Amougou Belinga. Si c'est un secret de Polichinelle que c'est Louis Paul Motaze qui a, à travers la ligne 94 fabriqué le magnat de la presse camerounaise en lui octroyant plusieurs milliards de FCFA sans aucune garantie, il est donc évident que c'est lui qui a fabriqué cette vermine qui marchait déjà sur la République narguant et tuant ses compatriotes; au point de caracoler le titre de Zomlo'o des Zomlo'os.
Quant à Samuel Mvondo Ayolo, si l'amitié avec le Zomloa qui ne date pas depuis des lustres aurait été achetée à coup de milliards de FCFA pour se soustraire de la prison;ainsi, après la tentative d'évasion avortée orchestrée par le juge Sikati KamwoII, il a poussé le bouchon assez loin en faisant comprendre au chef de l'Etat que le procès du Zomloa devait être accéléré pour une éventuelle libération de celui-ci : "le peuple est déjà calme, il n'y aura aucune réaction , la libération d'Amougou Belinga sera utile pour sa réélection en octobre 2925."
Pas étonnant aujourd'hui de voir Bruno Bidjang, le directeur des médias du Groupe l'Anecdote,devenu le kilaveur attitré de Mvondo Ayolo et à la moindre occasion,il est prompt à pondre des inepties . L'opinion s'interroge, toute curiosité faite sur le rôle de Bruno Bidjang, entre Mvondo Ayolo et Louis Paul Motaze sachant que entre les deux c'est l'eau et le feu. Et depuis que le DCC est brocardé de toute part par l'écrivaine Calixte Beyala Bruno Bidjang alias " petit Zomlo'o" est monté au créneau pour essayer de le défendre bec et ongles.Il est question d'ailleurs pour certains journalistes à la solde de Mvondo Ayolo de laver son image au sein de l'opinion,quitte à en faire un saint des saints. Et bien entendu Mvondo Ayolo est subitement présenté comme un homme propre. Alors qu'en est-il de tous les cadavres dans ses placards,ou alors l'auraient -ils absoud de tous les scandales financiers et détournements de deniers publics dont- il est coupable ? Mvondo Ayolo aurait-il entre temps restituer à la famille légitime le terrain sur lequel est construit l'immeuble Ekang ?C'est autant de questions auxquelles les camerounais attendent des réponses de ces journalistes devenus subitement des peintres de tombeaux .Il est également important de souligner que le sang de Martinez Zogo ou celui de Brian Fombor aurait un effet néfaste dans le cerveau de certains à l'instar de Bruno Bidjang.
De toute façon la bataille des chéris pour la conquête de Amougou Belinga, surtout en l'absence d'un autre mari de poigne Laurent Esso, très malade ;que ce mauvais cinéma suscite des interrogations de l'opinion publique qui n'arrive pas à comprendre comment un justiciable arrive à mobiliser à son chevet deux hauts commis de l'Etat qui sont prêts à couler avec lui s'il est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés. Il n'y a qu'une mariée qui peut jurer à son époux pour le meilleur et pour le pire. Le genre ci dépasse l'entendement des Peut-être que ce genre de choses auraient une explication dans le monde subtil.

🔴Serail : Deux prétendants, un amant

C'est un feuilleton digne d'un film nollywodien, le spectacle ubuesque que projettent depuis quelque temps deux baleines du régime Biya et par ailleurs élites d'un même département.

Samuel Mvondo Ayolo Directeur du Cabinet Civil du président de la République (DCC) et Louis Paul Motaze ministre des Finances (Minfi), affidés de l'homme d'affaires Jean Pierre Amougou Belinga, écroué à la prison de Kondengui dans l'affaire du meurtre du journaliste Martinez Zogo.
Ça ne fait aucun doute dans la région du Sud ;la guerre de tranchées que se livrent ces deux élites du Dja et-Lobo pour leurs ambitions de leadership dans cette région et de dauphinat du président de la République. Curieusement, leurs intérêts convergent depuis peu vers un même objectif à savoir, la libération de Jean Pierre Amougou Belinga. Si c'est un secret de Polichinelle que c'est Louis Paul Motaze qui a, à travers la ligne 94 fabriqué le magnat de la presse camerounaise en lui octroyant plusieurs milliards de FCFA sans aucune garantie, il est donc évident que c'est lui qui a fabriqué cette vermine qui marchait déjà sur la République narguant et tuant ses compatriotes; au point de caracoler le titre de Zomlo'o des Zomlo'os.
Quant à Samuel Mvondo Ayolo, si l'amitié avec le Zomloa qui ne date pas depuis des lustres aurait été achetée à coup de milliards de FCFA pour se soustraire de la prison;ainsi, après la tentative d'évasion avortée orchestrée par le juge Sikati KamwoII, il a poussé le bouchon assez loin en faisant comprendre au chef de l'Etat que le procès du Zomloa devait être accéléré pour une éventuelle libération de celui-ci : "le peuple est déjà calme, il n'y aura aucune réaction , la libération d'Amougou Belinga sera utile pour sa réélection en octobre 2925."
Pas étonnant aujourd'hui de voir Bruno Bidjang, le directeur des médias du Groupe l'Anecdote,devenu le kilaveur attitré de Mvondo Ayolo et à la moindre occasion,il est prompt à pondre des inepties . L'opinion s'interroge, toute curiosité faite sur le rôle de Bruno Bidjang, entre Mvondo Ayolo et Louis Paul Motaze sachant que entre les deux c'est l'eau et le feu. Et depuis que le DCC est brocardé de toute part par l'écrivaine Calixte Beyala Bruno Bidjang alias " petit Zomlo'o" est monté au créneau pour essayer de le défendre bec et ongles.Il est question d'ailleurs pour certains journalistes à la solde de Mvondo Ayolo de laver son image au sein de l'opinion,quitte à en faire un saint des saints. Et bien entendu Mvondo Ayolo est subitement présenté comme un homme propre. Alors qu'en est-il de tous les cadavres dans ses placards,ou alors l'auraient -ils absoud de tous les scandales financiers et détournements de deniers publics dont- il est coupable ? Mvondo Ayolo aurait-il entre temps restituer à la famille légitime le terrain sur lequel est construit l'immeuble Ekang ?C'est autant de questions auxquelles les camerounais attendent des réponses de ces journalistes devenus subitement des peintres de tombeaux .Il est également important de souligner que le sang de Martinez Zogo ou celui de Brian Fombor aurait un effet néfaste dans le cerveau de certains à l'instar de Bruno Bidjang.
De toute façon la bataille des chéris pour la conquête de Amougou Belinga, surtout en l'absence d'un autre mari de poigne Laurent Esso, très malade ;que ce mauvais cinéma suscite des interrogations de l'opinion publique qui n'arrive pas à comprendre comment un justiciable arrive à mobiliser à son chevet deux hauts commis de l'Etat qui sont prêts à couler avec lui s'il est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés. Il n'y a qu'une mariée qui peut jurer à son époux pour le meilleur et pour le pire. Le genre ci dépasse l'entendement des Peut-être que ce genre de choses auraient une explication dans le monde subtil.