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Infos Sports of Thursday, 9 March 2017

Source: www.camerounweb.com

Samuel Eto'o introuvable: un designer se plaint

Le designer assure avoir tenté, plusieurs fois, de rentrer en contact avec Eto'o, mais en vain. Le designer assure avoir tenté, plusieurs fois, de rentrer en contact avec Eto'o, mais en vain.

Samuel Eto'o est introuvable. Toutes les tentatives d'un designer pour rencontrer la légende Eto’o sont restées vaines. Cependant, pas question pour lui d’abandonner. Le designer camerounais Gabriel Pascal Nyemeg Nlend s'accroche à son rêve et espère rentrer en contact avec l’ex-numéro 9 des Lions indomptables.

Sans l’autorisation de la superstar, il lui est quasiment impossible de produire et commercialiser son équipementier sportif composé de tennis, des casquettes et des t-shirts, ceintures et chaussures dédiés à Samuel Eto’o, la légende du continent africain,

« Déjà c'est son image à lui et c'est un grand frère que je respecte, donc je ne peux pas agir à l'encontre de sa volonté. Donc je reste à ma place et j'attends qu'il réagisse. Il m'a dit d'attendre et qu'il allait prendre une décision pour ce projet. Donc depuis, je suis en attente », explique le jeune designer fan de la star.

Et de poursuivre : « vous savez, ce sont des gens qui sont très occupés. Ils ont des agendas pas faciles à gérer. C'est comme un président de la République, ils ne sont pas faciles à obtenir. Il faut passer à gauche et à droite. On essaie de frapper aux portes, mais elles restent fermées », lâche-t-il, visiblement impatient.



La première collection de la marque a été dévoilée en 2014 avec l'inscription « Samuel Eto'o » accompagnée de « e9 » imbriqué. La « e9 » est une référence au dossard n°9 du goleador, incontestablement l'un des meilleurs footballeurs du monde.



Jusqu’à ce jour, Gabriel Pascal Nyemeg Nlend refuse de croire que son projet est tombé dans les oubliettes. Il continue d’ambitionner d'immortaliser le nom de Samuel Eto'o à travers cette marque.

Le jeune designer est devenu entretemps informaticien et travaille pour une filiale d’un groupe français de télécoms à Lisbonne. « Ma plus grande fierté serait de voir la marque « e9 » exister », confie-t-il.

Sa dernière rencontre avec l’attaquant d’Antalyaspor remonte en mars 2015 en Italie.