Actualités of Monday, 18 August 2025

Source: www.camerounweb.com

Vie de multimilliardaire : un bien non connu de Samuel Eto'o dévoilé à Paris

Samuel Eto’o serait-il vraiment ruiné comme le tentent de faire croire plusieurs personnes ? Du point de vue du journaliste Bruno Bidjang, c’est la négative qui se colle à cette question. Depuis un moment, il publie une série de révélations pour montrer que l’actuel président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) est toujours stable financièrement.

Sur les réseaux sociaux, le proche de Jean-Pierre Amougou Belinga poste des photos avec le commentaire suivant : « l’une des somptueuses résidences de Samuel Eto’o à Paris. Pourtant les gens disent qu’il n’a plus rien, qu’il est ruiné ».

Bruno Bidjang préfère donc en rire. Pour lui, un joueur qui a eu la carrière de Samuel Eto’o (Real Madrid, Barcelone, Inter Milan, Chelsea, FK Anji Makhatchkala, etc.) et qui continue d’investir son argent dans plusieurs secteurs d’activité ne peut pas être ruiné.

La sortie a fait réagir le conseiller des couples sur les réseaux sociaux, Thierry Pat : « La vraie richesse ne se résume pas aux biens matériels. Beaucoup ont des maisons et des grosses voitures, mais sont couchés à l’hôpital. La vraie richesse d’un Homme c’est la santé, la paix intérieure et son savoir-faire ».

Dans le même élan que Bidjang, un intervenant confirme l’existence du bien de Samuel Eto’o : « Beaucoup de personnes ne savent pas que cette maison de Samuel Eto’o est à Neuilly dans l’un des plus grands quartiers résidentiels de Paris. Il a payé cette maison en 2009, il y a 16 ans, quand il quittait le FC Barcelone. Elle a coûté 12 millions d’euros à l’époque ».

Puis, il y a ceux qui pensent que Samuel Eto’o a une fortune contestable. « Lorsqu’un citoyen pille l’État en temps de prospérité pour se constituer une fortune, c’est de l’égoïsme. Lorsqu’il place cette fortune à l’extérieur de son pays au détriment de l’économie nationale, c’est sa confiance qu’il refuse à sa patrie et qu’il place à l’extérieur », dit un observateur.



Il continue en insistant que « lorsqu’en période de crise, il refuse de rapatrier les fonds pour investir à l’intérieur, préférant s’acheter des résidences en Europe où il envoie vivre femmes et enfants, ou encore construire des cliniques dans les pays où nous mendions de l’argent pour construire nos dispensaires, on peut dire que sa nationalité camerounaise même n’est plus que transitoire ».

Enfin, termine la même source, « aussi n’est-il plus étonnant qu’un Camerounais, soi-disant, se laisse corrompre au profit de l’étranger dans l’attribution des marchés publics où hypothèque l’avenir de ses propres enfants ».