Vente de 'piment' à Dubaï: un activiste dévoile un business des 'influenceuses' camerounaises

Le business des 'influenceuse' qui partagent leurs vies de luxe et des photos d'elles presque nues qui sont en fait des sex-appeals, sur les réseaux sociaux, a été débattu dans une émission de grande écoute en France.

Dans l'émission "Touche pas à mon poste" diffusée sur la chaine française C8, a été invité l'une des ces plus grandes soi-disant "influenceuses" françaises qui vivent dans le luxe insolent sans avoir un business qui leur rapporte de l'argent.

Ruby Nikara (très connue en France comme influenceuse) qui n'arrivait pas à prouver les sources de ses revenus, a été traitée de mythomane et de prostituée par l'un des participants au débat su C8.
C'es est suivi un clash et des révélations sur le vrai business des influenceuses et ce qu'elles font réellement à Dubaï, comme on peut le voir dans l'extrait de l'émission que la rédaction de CamerounWeb vous propose.

Ce débat a amené l'activiste camerounais, Shance Lion à dévoiler le business que font les "influenceuse" camerounaise.

"Maahlox Officiel tu savais qu'en mbeng, les "Influenceuses" vendent les immeubles à Dubai et c'est grâce à ça qu'elles auraient beaucoup d'argent ? Voici la copine de ta marmite qui fait des déclarations fracassantes sur leur affaire d'influenceuses à Touche Pas à Mon Poste, c'est très grave, on se demande où va notre monde, que devient-il ?", écrit-il en commentaire de la vidéo qu'il a aussi partagé sur sa page.

Au Cameroun, l'on compte plusieurs influenceuses qui comme Ruby, l'on ne connait pas vraiment les sources de leurs millions ou milliards qu'elles disent avoir. Les plus connues sont Coco Emilia, Nathalie Koah, Murielle Blanche… A celle-là l'on peut ajouter une longue liste de jeune, la nouvelle génération, plus virulents et prêtes à tout pour détrôner les anciennes.

Bref, suivons l'extrait