Actualités of Tuesday, 2 September 2025
Source: www.camerounweb.com
Stupeur totale sur la toile. L’influenceuse camerounaise surnommée "Jupiter noir" découvre, comme tout le monde, ses vidéos personnelles tournées dans un cadre intime se retrouver sur la toile.
Les vidéos communément appelées « nudes » de l’influenceuse circulent dans les plateformes d’échanges, entraînant des spéculations diverses. Comment ces images, censées être privées, sont arrivées sur les réseaux sociaux ? C’est la grande question qui vient premièrement à l’esprit de tout le monde. Pourquoi la jeune femme s’est-elle donné la peine de filmer ces moments particuliers et qui demandent une absolue discrétion ? Une autre interrogation qui a tout son sens.
Il y a plusieurs mois, à l’époque où la jeune Cynthia Fiangan, de son vrai nom Christelle Biloa Atangana Brigitte, était devenue célèbre à cause de ses vidéos à caractère sexuel qu’elle-même prenait le plaisir de partager, le nom de Jupiter noir avait déjà commencé par circuler. Seulement, aucune preuve matérielle n’existait pour montrer qu’elle est également une adepte de la pratique dont se délectent souvent les internautes africains en général, ceux camerounais plus spécialement.
Jupiter noir se vante souvent sur Internet d’avoir un corps de rêve qui plaît à tous les hommes. D’ailleurs, la citoyenne poste régulièrement des photos et des vidéos dans lesquelles elle montre, en toute connaissance de cause, sa poitrine exposée, à peine couverte par un habit ou des filets par moments. C’est donc un fait, elle est réputée pour le sex-appeal (terme utilisé pour désigner un charme sensuel ou un pouvoir de séduction émanant d’une personne, provoquant le désir et l’attrait chez les autres).
La Camerounaise expose également son opulence, ce qui amène les observateurs à se demander où elle trouve tout cet argent, sans aucun travail officiellement reconnu.
Actuellement, dans tous les groupes, elle est le sujet de discussions.
Les images qui ont été publiées la montrent clairement, parfois seule et tantôt bien accompagnée par un jeune homme dont le visage se fait quasiment voir. L’autosatisfaction, le plaisir à deux, les mimiques dans la douche, au lit, etc. tout y passe. Un ensemble de vulgarité et d’obscénité qui choque plus d’une personne, amenant à se demander, encore une nouvelle fois, si la jeunesse ne court pas tout droit à sa perte.
D’autres citoyens ne perdent pas du temps pour conclure que c’est le travail qui rapporte assez d’argent à ces jeunes qui n’ont appris qu’une chose : allumer la caméra et se déshabiller.