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Actualités of Monday, 24 October 2022

Source: www.camerounweb.com

Université de Yaoundé I : un scandale découvert, place à des arrestations spectaculaires

Injustice et discrimination Injustice et discrimination


• Un nouveau cas d’injustice est dénoncé

• La discrimination ne faiblit pas dans le pays

• Une femme est montée au créneau

Un problème dans une faculté de l’université de Yaoundé 1 est dénoncé sur les réseaux sociaux par une maman. Dans cet établissement public à caractère scientifique et culturel, situé dans la capitale politique du pays, les médecins auraient la vie difficile à cause de certaines personnes tapies dans l’ombre qui nuisent abondamment.

Le lanceur d’alerte camerounais Boris Bertolt a publié le témoignage d’une maman qui est fatiguée de garder silence par rapport à l’injustice et la discrimination que subissent les médecins dont font partie ses enfants.

Le journaliste a informé l’opinion publique nationale et internationale de la situation dans cette grande université du Cameroun.

Une maman dénonce l’injustice et la discrimination dans la formation des médecins au Cameroun… Témoignage

« Les médecins en cycle de spécialisation à la FMSB de l'université de Yaoundé 1 vivent une injustice sociale qui ne peut se voir qu'au Cameroun.

Je suis une mère qui a deux (02) enfants en cycle de spécialisation dans cette faculté. Les enfants ont été formés comme médecin généraliste dans une université privée.

On leur demande des frais de scolarité d’un million l'année, pendant que leurs collègues camerounais qui ont été formés dans les facultés de médecine publique doivent cinquante mille (50 000) par an.

Cette décision s'applique sans note de service alors que la seule note qui règlemente les pensions dans nos universités fixe le taux à cinquante mille (50 000).

Trop d'injustice au Cameroun est en train d'asphyxier les pauvres familles comme les nôtres.

Il y a plusieurs jeunes médecins qui finissent ainsi leur formation sans diplôme pour n'avoir pas payer les quatre millions (4 000 000) qui leur sont réclamés ».