Actualités of Friday, 25 July 2025

Source: La coach blonde

Une femme avertit la nouvelle épouse du pasteur Marcello Tunasi

Born to die for you ! Les femmes souffrent autant parce qu’en vérité, bien avant le féminisme, le workisme et toutes ces sciences modernes que le monde tente de nous imposer, un seul principe prévalait : vivre pour un homme.

Et malgré tous ces “avancées”, malgré tous ces accessoires de libération, les femmes portent encore en elles les bribes de la femme ancienne. Même dans leur liberté, elles traînent encore les chaînes de l’esclavage.

Et dans leur grande naïveté, elles croient souvent être l’élue venue d’un autre monde, la pierre manquante de l’édifice, d’un homme, le saint graal, l’ultime merveille.

Mama Blanche y croyait aussi, jusqu’à en mourir des raisons les plus étranges. Aujourd’hui, c’est Mama Aïsha qui prend le relais, décidée à aimer cet homme, à lui apporter tout le soutien nécessaire. Mais s’est-elle posé les bonnes questions ?

Si cet homme idolâtrait sa femme comme il le disait, comment peut-il, en moins d’un an, passer à autre chose ? Est-ce que je recevrai le bonheur ou serai-je juste une femme qui remplace une autre. Est-ce qu’il a vraiment eu le temps de guérir des blessures émotionnelles ? Comment va se passer la vie avec ses enfants, son entourage ?

J’en suis sûre, elle ne s’est pas questionnée. Dans sa tête, c’est qu’elle va juste le rendre heureux. Elle fera de son possible pour qu’ils vivent en harmonie. Alors voilà comment une femme, qui était censée être heureuse, se retrouve avec pour seule mission de rendre les autres heureux, car c’est à elle de prouver qu’elle mérite d’être là.

Beaucoup croient que les hommes qui servent Dieu sont exemptés de douleurs, de manques, de pulsions. C’est faux. La douleur, la joie, la tristesse sont universelles. Seule leur gestion change.

Les femmes doivent se reprogrammer. J’irai plus loin en disant : les femmes doivent avoir une école qui leur redonne l’estime de soi. Une école où on leur apprendra que la solitude n’est pas une fatalité, qu’avoir des enfants n’est pas obligatoire, où nous ne sommes pas responsables que de notre propre bonheur, et que c’est en étant heureuse qu’on peut prétendre rendre autrui heureux.

Et maintenant ? Je crois qu’il est légitime pour le prophète Marcello de se marier, car on ne veut pas qu’il se transforme en délinquant sexuel, car un homme tenu en laisse sexuelle trop longtemps devient très vite un vicieux lubrique.

Comme je l’ai dit plus haut, parler de Dieu en étant homme ne vous épargne pas des tourments naturels de l’esprit. La preuve : en moins d’un an, il n’en pouvait plus du vide abyssal dans l’âme, dans le lit…

Car nous avons un homme, dans toute sa splendeur, qui veut faire l’amour. Et comme Facebook est pire que les paparazzis, vous l’auriez filmé en train de sortir de l’auberge, et vous auriez crié : homme Dieu vicieux.

Alors, pour une fois qu’un homme de Dieu veut vivre dignement, vous devriez applaudir. À contrario si c’était Mama Blanche, veuve, qui, un an plus tard, voulait refaire sa vie, vous l’auriez traitée d’indigne. Et ses bourreaux auraient été… des femmes.

Des femmes enchaînées aux fausses philosophies féminines. Des femmes qui, dans leur libération même, sont les geôlières de leurs sœurs. AAinsi nous remettons en question les bases des fondements de la mission du féminisme et des droits de l’homme.