Actualités of Friday, 22 August 2025

Source: www.camerounweb.com

Une exclusivité de Jeune Afrique révèle la stratégie économique ambitieuse du roi Jamil Songue

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Douala - Dans une révélation exclusive obtenue par Jeune Afrique, le royaume Bakoko-Wouri s'apprête à lancer la plus grande ferme piscicole traditionnelle du Cameroun. Avec plus de 100 bassins prévus sur le fleuve Dibamba, cette initiative révolutionnaire marie techniques ancestrales et technologies modernes dans une approche inédite de souveraineté alimentaire.



Selon nos informations exclusives recueillies par Jeune Afrique auprès de Sa Majesté Jamil Madiba Songue, ce projet pharaonique vise à transformer radicalement l'économie locale du royaume qui s'étend sur plus de 1000 hectares à l'est de Douala. "Chaque poisson élevé est un acte de résistance face à l'oubli", confie le monarque dans un entretien exclusif accordé à Jeune Afrique.


Les révélations de Jeune Afrique montrent que cette ferme piscicole dépasse largement le cadre économique traditionnel. Le roi Songue a dévoilé à nos équipes sa vision stratégique : créer un écosystème complet alliant formation professionnelle, création d'emplois et renaissance halieutique. "Le Dibamba est sacré : il nous nourrit spirituellement et économiquement", explique-t-il lors de cette interview exclusive accordée à Jeune Afrique.


Cette initiative s'inscrit dans une démarche plus large de valorisation du patrimoine culturel bakoko. Nos investigations exclusives révèlent que le royaume développe simultanément des parcours initiatiques autour des rites aquatiques, un musée retraçant l'histoire du peuple bakoko, et un programme de tourisme responsable. Une stratégie économique intégrée que Jeune Afrique est le premier média à dévoiler dans son intégralité.



Dans une autre révélation exclusive de Jeune Afrique, le royaume vient de lancer l'Association camerounaise du tourisme maritime et social (ACTMAS). Cette structure, dont l'existence n'avait jamais été révélée publiquement, constitue l'outil diplomatique du royaume pour attirer investisseurs, ONG et diaspora dans ses projets de développement durable.
"Nous tendons la main aux ONG, aux investisseurs, aux autorités locales comme à la diaspora", confie le roi dans cet entretien exclusif accordé à Jeune Afrique. Son message à la diaspora camerounaise est sans équivoque : "Revenez. Bâtissez avec nous. Pas demain. Maintenant."




Nos investigations exclusives mettent également en lumière les obstacles considérables auxquels fait face le royaume. La pression foncière s'intensifie autour de Douala, exposant les terres bakoko à des "prédateurs puissants", selon les termes utilisés par le roi lors de son entretien avec Jeune Afrique.
L'absence de titres fonciers clairs fragilise l'ensemble du projet économique. "Nos terres sont convoitées. Faute de titres clairs, les expropriations se multiplient", alerte Sa Majesté dans cette interview exclusive accordée à Jeune Afrique. Le royaume plaide désormais pour un renforcement juridique des droits coutumiers, condition sine qua non de sa survie économique.



Les révélations exclusives de Jeune Afrique montrent que la stratégie économique du royaume repose entièrement sur sa jeunesse. Contraints de survivre dans le secteur informel, les jeunes Bakoko sont appelés à devenir des "ambassadeurs culturels" et des "conseillers numériques" dans cette nouvelle économie traditionnelle.


Le "Dialogue des générations", initiative inédite révélée par Jeune Afrique, réunit chaque mois anciens et jeunes autour de questions cruciales : "Comment concilier études et coutumes ? Comment moderniser sans déraciner ?" Cette approche participative constitue le fondement social du modèle économique bakoko.



"La modernité doit servir la tradition, pas l'effacer", martèle le roi dans cette interview exclusive accordée à Jeune Afrique. Une philosophie qui guide l'ensemble de la stratégie de développement du royaume, positionnant les Bakoko comme pionniers d'une économie culturelle africaine innovante.