« Je demande à Atanga Nji d'arrêter de mépriser et d'intimider les Camerounais (…) J'aimerais vous dire ceci, je n'ai pas peur de l'administration de Paul Biya ». C'est par ces propos que le citoyen prénommé Jacques démarre son grand déballage.

Le Camerounais avait été chassé de l'université de Douala parce qu'il avait refusé de se faire sodomiser. Par qui ? Selon ses explications, c'est le recteur de l'époque qui voulait tirer profit de ses parties intimes.

Aujourd'hui, il allume sa caméra pour dire la vérité, donner des noms, notamment le ministre de l'Enseignement supérieur, Jacques Fame Ndongo qu'il était parti voir pour lui raconter son histoire. L'autorité l'avait chassé comme un malpropre. Trêve de commentaires !